Le premier film panafricain télévisé qui vise à éduquer les téléspectateurs sur la santé sexuelle et reproductive et maternelle, en Afrique de l’Ouest et du Centre a été présenté, lundi, à l’Institut français d’Abidjan, en marge de la 19è Conférence internationale sur le SIDA et les Maladies Sexuellement Transmissibles en Afrique.
‘’C’est ça la vie’’ est une série télévisée de 26 épisodes réalisée par le cinéaste sénégalais Moussa Sène Absa co-produite par l’Ong Raes et Keewu avec la collaboration du Fonds Français Muskoka (FFM) et de quatre organismes onusiens que sont le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), ONU femmes, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Place de la femme dans la société, violences sur les femmes, viol, santé sexuelle et reproductive… autant de thèmes qu’aborde ‘’C’est la vie’’.
C’est l’histoire d’un médecin-gynécologue (Moulaye) et d’une sage-femme (Assita) tous deux praticiens dans un centre de santé, essaient tant bien que mal de gérer les difficultés pour soigner les habitants du quartier Ratanga où ‘’l’existence oscille entre joies, malheurs, travail et vie familiale’’.
Les morts tragiques d’une jeune femme de quinze ans et de son bébé pendant l’accouchement vont faire éclater au grand jour les dysfonctionnements du système de santé et vont bouleverser Ratanga.
Ce sera l’occasion d’une prise de conscience collective pour les habitants du quartier et le personnel du centre de santé. Hommes et femmes, de tous âges et de toutes conditions, vont se questionner sur la mise en œuvre d’une politique de santé efficace.
‘’ C’est la vie’’ propose, également, un regard franc et très humain sur une Afrique complexe, sans fard, surprenante et attachante, où ‘’des groupes sociaux différents se croisent, s’aiment, se détestent, se trahissent et essaient de se comprendre’’. En définitive, les vies se vivent au gré des amours et des haines, des intrigues et des manipulations.
A travers le Fonds Français Muskoka (FFM), créé suite au sommet du G8 en juin 2010, à Muskoka au Canada, la France s’est engagée à investir 95 millions d’Euros sur cinq années pour soutenir le travail conjoint des quatre agences des Nations Unies en faveur de la santé des femmes, des jeunes et des enfants.
HS/ls/APA
‘’C’est ça la vie’’ est une série télévisée de 26 épisodes réalisée par le cinéaste sénégalais Moussa Sène Absa co-produite par l’Ong Raes et Keewu avec la collaboration du Fonds Français Muskoka (FFM) et de quatre organismes onusiens que sont le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), ONU femmes, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Place de la femme dans la société, violences sur les femmes, viol, santé sexuelle et reproductive… autant de thèmes qu’aborde ‘’C’est la vie’’.
C’est l’histoire d’un médecin-gynécologue (Moulaye) et d’une sage-femme (Assita) tous deux praticiens dans un centre de santé, essaient tant bien que mal de gérer les difficultés pour soigner les habitants du quartier Ratanga où ‘’l’existence oscille entre joies, malheurs, travail et vie familiale’’.
Les morts tragiques d’une jeune femme de quinze ans et de son bébé pendant l’accouchement vont faire éclater au grand jour les dysfonctionnements du système de santé et vont bouleverser Ratanga.
Ce sera l’occasion d’une prise de conscience collective pour les habitants du quartier et le personnel du centre de santé. Hommes et femmes, de tous âges et de toutes conditions, vont se questionner sur la mise en œuvre d’une politique de santé efficace.
‘’ C’est la vie’’ propose, également, un regard franc et très humain sur une Afrique complexe, sans fard, surprenante et attachante, où ‘’des groupes sociaux différents se croisent, s’aiment, se détestent, se trahissent et essaient de se comprendre’’. En définitive, les vies se vivent au gré des amours et des haines, des intrigues et des manipulations.
A travers le Fonds Français Muskoka (FFM), créé suite au sommet du G8 en juin 2010, à Muskoka au Canada, la France s’est engagée à investir 95 millions d’Euros sur cinq années pour soutenir le travail conjoint des quatre agences des Nations Unies en faveur de la santé des femmes, des jeunes et des enfants.
HS/ls/APA