Les engagements des Etats et la communauté internationale font espérer à la fin de l’épidémie du SIDA en 2030, a estimé Mabingue Ngom, Directeur régional de Directeur régional du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP ou UNFPA en anglais) pour la région Afrique de l'Ouest et du Centre, à l’ouverture lundi à Abidjan de la 19è Conférence Internationale sur le SIDA et les Maladies Sexuellement Transmissibles, en présence du chef de l’Etat Alassane Ouattara.
‘’Aujourd’hui, nous notons beaucoup moins de décès liés au Sida, moins d’infections et de meilleurs taux de couverture en termes d’accès au traitement, que par le passé’’, a déclaré Mabingue Ngom selon qui ‘’ces progrès concernent aussi l’Afrique, même si les pays sont toujours confrontés à des défis redoutables’’.
Les engagements des Etats et la communauté internationale, a-t-il poursuivi, ‘’font espérer à la fin de l’épidémie en 2030’’. Ces aspirations légitimes, selon lui, ‘’nous obligent +à une approche différente+ pour un rendez-vous diffèrent des autres’’.
Pour la circonstance, M. Ngom a salué tout le travail d’animation, de conception et de concertation, (…) de persuasion de l’ONUSIDA, et tout particulièrement son Directeur Exécutif, Sous-Secrétaire général des Nations Unies, Michel Sidibé.
‘’Michel, ton leadership a su impulser une nouvelle dynamique à la réponse à cette pandémie en fixant en 2014 des objectifs résumés par la formule des +trois 90+’’, a rappelé le directeur régional de l’UNFPA, soulignant la mise en place commune de la coalition pour la prévention du VIH/Sida lancée à Genève en octobre dernier.
Ces bonnes nouvelles, a averti M. Ngom, consacrent des progrès, mais ‘’elles nous imposent de poursuivre dans la voie’’ pour gagner la bataille.
‘’( …) la victoire est à notre portée. Elle est au prix d’une nouvelle solidarité qui garantisse que personne n’est laissé pour compte, que les plus vulnérables notamment les adolescentes, les jeunes filles et les femmes sont les premiers bénéficiaires de cette chaîne d’union’’, a espéré Mabingue Ngom.
‘’Il s’agit pour nous tous, de mieux déployer les ressources disponibles, d’accroître notre capacité et notre volonté à écouter, comprendre et apprendre du terrain. Il s’agit de ne plus laisser la bureaucratie et les conflits d’intérêts entraver la mise en œuvre des engagements pris’’, a recommandé le responsable de l’UNFPA.
Selon lui, seule une approche différente peut changer le sort des populations des régions comme l’Afrique de l’Ouest et du Centre, insistant sur ‘’l’engagement continu’’ du président Alassane Ouattara pour ‘’la santé et le bien-être de ces millions de jeunes et de femmes qui sont le moteur de l’émergence de notre continent’’.
HS/ls/APA
‘’Aujourd’hui, nous notons beaucoup moins de décès liés au Sida, moins d’infections et de meilleurs taux de couverture en termes d’accès au traitement, que par le passé’’, a déclaré Mabingue Ngom selon qui ‘’ces progrès concernent aussi l’Afrique, même si les pays sont toujours confrontés à des défis redoutables’’.
Les engagements des Etats et la communauté internationale, a-t-il poursuivi, ‘’font espérer à la fin de l’épidémie en 2030’’. Ces aspirations légitimes, selon lui, ‘’nous obligent +à une approche différente+ pour un rendez-vous diffèrent des autres’’.
Pour la circonstance, M. Ngom a salué tout le travail d’animation, de conception et de concertation, (…) de persuasion de l’ONUSIDA, et tout particulièrement son Directeur Exécutif, Sous-Secrétaire général des Nations Unies, Michel Sidibé.
‘’Michel, ton leadership a su impulser une nouvelle dynamique à la réponse à cette pandémie en fixant en 2014 des objectifs résumés par la formule des +trois 90+’’, a rappelé le directeur régional de l’UNFPA, soulignant la mise en place commune de la coalition pour la prévention du VIH/Sida lancée à Genève en octobre dernier.
Ces bonnes nouvelles, a averti M. Ngom, consacrent des progrès, mais ‘’elles nous imposent de poursuivre dans la voie’’ pour gagner la bataille.
‘’( …) la victoire est à notre portée. Elle est au prix d’une nouvelle solidarité qui garantisse que personne n’est laissé pour compte, que les plus vulnérables notamment les adolescentes, les jeunes filles et les femmes sont les premiers bénéficiaires de cette chaîne d’union’’, a espéré Mabingue Ngom.
‘’Il s’agit pour nous tous, de mieux déployer les ressources disponibles, d’accroître notre capacité et notre volonté à écouter, comprendre et apprendre du terrain. Il s’agit de ne plus laisser la bureaucratie et les conflits d’intérêts entraver la mise en œuvre des engagements pris’’, a recommandé le responsable de l’UNFPA.
Selon lui, seule une approche différente peut changer le sort des populations des régions comme l’Afrique de l’Ouest et du Centre, insistant sur ‘’l’engagement continu’’ du président Alassane Ouattara pour ‘’la santé et le bien-être de ces millions de jeunes et de femmes qui sont le moteur de l’émergence de notre continent’’.
HS/ls/APA