Le philosophe Abou Karamoko, Président de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), auteur de « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », a procédé ce mardi 05 décembre à la dédicace de cette œuvre éponyme de sa thèse de doctorat d’État. La cérémonie de dédicace a eu lieu à l’amphithéâtre A du Centre des ressources pédagogiques et numériques de l’UFHB en présence du Secrétaire Général du Cames, Pr Bertrand M’Batchi, du représentant du gouverneur du district d’Abidjan, M. Michel Coffi Benoît, des Présidents des Universités, des Vice-présidents, des Secrétaires Généraux, des Doyens, Secrétaires Généraux Adjoints, des enseignants-chercheurs et des étudiants.
Le nouvel humanisme porté par Abou Karamoko à travers « « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », a donné lieu, au cours de la dédicace, a des lectures externe et interne et à une lecture dialectique. Dans la présentation de l’ouvrage, le Professeur Yao-Edmond Kouassi, disciple de l’auteur, en disséquant la prose de son maître, asserte que l’ouvrage est, en ses parties largement équilibré et est rendu en « français de France », comme le dit Abou Karamoko lui-même. Dans son analyse de « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », il souligne que dans la première partie de l’œuvre, l’auteur se rapporte à la philosophie, à l’intellectuel, au savoir, à lui-même pour, à terme, déborder le discours européocentrique africaine de la philosophie.
Ce premier humanisme des Lumières prend de nouveaux éclats à la faveur de la déclaration universelle des droits de l’homme. Le philosophe Abou Karamoko en fait son miel lorsqu’il donne aux cultures, aux langues, aux traditions leurs terres d’accueil respectives : l’auteur ne fait pas tout autant de l’ethnophilosophie.
Aussi, dans son ouvrage, Abou Karamoko semble accorder une place prépondérante au parler franco-ivoirien, procède clairement de la défense des droits de l’homme en tant que droits culturels à promouvoir souvent au prix de possibles et plausibles discriminations positives. Enfin, en dernière analyse, le Professeur Yao-Edmond Kouassi montre que la reconstruction comme méthode retenue pour avancer avec l’ouvrage « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », peut être un outil de débordement de celui-ci, pour entrevoir un nouveau « nouvel humanisme » potentiellement présent sous la plume d’Abou Karamoko.
Rappelons qu’en prenant la parole, l’auteur Abou Karamoko reconnaît que les idées contenues dans son ouvrage sont le fait d’échanges fructueux permanents avec ses étudiants, ses collègues et ses enfants. Et de conclure qu’en philosophie, on ne met jamais un point final. C’est pourquoi, un deuxième ouvrage est en préparation et intitulé « Entre les lignes… ».
Le nouvel humanisme porté par Abou Karamoko à travers « « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », a donné lieu, au cours de la dédicace, a des lectures externe et interne et à une lecture dialectique. Dans la présentation de l’ouvrage, le Professeur Yao-Edmond Kouassi, disciple de l’auteur, en disséquant la prose de son maître, asserte que l’ouvrage est, en ses parties largement équilibré et est rendu en « français de France », comme le dit Abou Karamoko lui-même. Dans son analyse de « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », il souligne que dans la première partie de l’œuvre, l’auteur se rapporte à la philosophie, à l’intellectuel, au savoir, à lui-même pour, à terme, déborder le discours européocentrique africaine de la philosophie.
Ce premier humanisme des Lumières prend de nouveaux éclats à la faveur de la déclaration universelle des droits de l’homme. Le philosophe Abou Karamoko en fait son miel lorsqu’il donne aux cultures, aux langues, aux traditions leurs terres d’accueil respectives : l’auteur ne fait pas tout autant de l’ethnophilosophie.
Aussi, dans son ouvrage, Abou Karamoko semble accorder une place prépondérante au parler franco-ivoirien, procède clairement de la défense des droits de l’homme en tant que droits culturels à promouvoir souvent au prix de possibles et plausibles discriminations positives. Enfin, en dernière analyse, le Professeur Yao-Edmond Kouassi montre que la reconstruction comme méthode retenue pour avancer avec l’ouvrage « Les enjeux du discours philosophique pour l’Afrique », peut être un outil de débordement de celui-ci, pour entrevoir un nouveau « nouvel humanisme » potentiellement présent sous la plume d’Abou Karamoko.
Rappelons qu’en prenant la parole, l’auteur Abou Karamoko reconnaît que les idées contenues dans son ouvrage sont le fait d’échanges fructueux permanents avec ses étudiants, ses collègues et ses enfants. Et de conclure qu’en philosophie, on ne met jamais un point final. C’est pourquoi, un deuxième ouvrage est en préparation et intitulé « Entre les lignes… ».