Abidjan - L'artiste peintre James Kadjo Houra a exposé jeudi à la Rotonde des Arts Contemporains sise au Plateau sur le thème "Des sourires et des dames", en présence du ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman.
« C’est le peintre des belles dames. Il a compris que l’Afrique se tient debout également grâce aux dames. C’est pourquoi, il magnifie les femmes à travers le sourire », a commenté le Conservateur de la Rotonde des Arts, Pr Yacouba Konaté.
En s’appuyant sur des auteurs dont Saint-Exupéry et des images bibliques à travers des versets, Prof Konaté a montré l’importance du sourire qui donne la vie. « Une belle femme, c’est celle qui sourit. L’essentiel, le plus souvent dans ses œuvres, l’on verra une dame qui sourit. Il est l’image de l’artiste qui s’assume à travers ses œuvres, dépeindre la guerre, la pauvreté, les quartiers précaires se vendent tout aussi bien », a-t-il ajouté.
Selon le Conservateur, le style de James Houra joue sur les couleurs, évoque l’Afrique du Kanté, l’Afrique gaie, l’Afrique digne et debout et qui marche. Il joue avec les couleurs de l’arc-en-ciel pour exprimer la beauté des femmes. « Il est vendu plus en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. Il est représentatif de la scène ivoirienne et fait partie de ceux qui mettent en évidence cette clientèle ivoirienne. Il est connu et reconnu et fait la fierté des artistes peintres de ce pays », a fait savoir Prof Konaté.
« Quand on regarde ces œuvres depuis 1985, James Houra a donné l’image d’un artiste qui faire plus envie que pitié », a tenu à relever le Conservateur. Il tient le haut du pavé, aimé des Ivoiriens, il a montré qu’on peut être bon artiste et s’en sortir, s’occuper de sa famille, éduquer ses enfants, a-t-il poursuivi.
(AIP)
mck/cmas
« C’est le peintre des belles dames. Il a compris que l’Afrique se tient debout également grâce aux dames. C’est pourquoi, il magnifie les femmes à travers le sourire », a commenté le Conservateur de la Rotonde des Arts, Pr Yacouba Konaté.
En s’appuyant sur des auteurs dont Saint-Exupéry et des images bibliques à travers des versets, Prof Konaté a montré l’importance du sourire qui donne la vie. « Une belle femme, c’est celle qui sourit. L’essentiel, le plus souvent dans ses œuvres, l’on verra une dame qui sourit. Il est l’image de l’artiste qui s’assume à travers ses œuvres, dépeindre la guerre, la pauvreté, les quartiers précaires se vendent tout aussi bien », a-t-il ajouté.
Selon le Conservateur, le style de James Houra joue sur les couleurs, évoque l’Afrique du Kanté, l’Afrique gaie, l’Afrique digne et debout et qui marche. Il joue avec les couleurs de l’arc-en-ciel pour exprimer la beauté des femmes. « Il est vendu plus en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. Il est représentatif de la scène ivoirienne et fait partie de ceux qui mettent en évidence cette clientèle ivoirienne. Il est connu et reconnu et fait la fierté des artistes peintres de ce pays », a fait savoir Prof Konaté.
« Quand on regarde ces œuvres depuis 1985, James Houra a donné l’image d’un artiste qui faire plus envie que pitié », a tenu à relever le Conservateur. Il tient le haut du pavé, aimé des Ivoiriens, il a montré qu’on peut être bon artiste et s’en sortir, s’occuper de sa famille, éduquer ses enfants, a-t-il poursuivi.
(AIP)
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