La Banque mondiale a accordé un crédit de 125 millions de dollars à la Côte d'Ivoire, afin de soutenir les efforts des autorités pour favoriser une croissance durable et solidaire et renforcer la résilience de l'économie ivoirienne face aux chocs.
"Ce financement, deuxième d'une série de trois opérations, appuie les politiques de développement axées sur les enjeux budgétaires importants et sur les secteurs de l'éducation, de l'énergie et la filière du cacao, essentiels à une croissance plus inclusive", indique la banque dans une note d'information transmise vendredi à Xinhua.
Il s'agit d'un crédit de l'Association internationale de développement (IDA), une institution de la Banque mondiale, d'un montant de "125 millions de dollars afin de soutenir les efforts entrepris par les autorités pour favoriser une croissance durable et solidaire et renforcer la résilience de l'économie aux chocs", précise la note d'information.
"Dans le domaine des finances publiques, cette opération portera sur la suppression de plusieurs exonérations de TVA, dans le but d'augmenter les recettes fiscales de 18 milliards de francs CFA en 2018", selon la Banque mondiale.
Dans le secteur de l'éducation, elle permettra d'augmenter la durée des enseignements et de prendre en charge les élèves, en particulier ceux en difficulté scolaire. En matière d'énergie, le crédit sera consacré au traitement par l'État des factures d'électricité impayées, contribuant à accroître les recettes sans hausser les tarifs.
"La promotion de la transparence dans la filière du cacao permettra à la Côte d'Ivoire d'atténuer les risques et de protéger les pouvoirs publics, les exportateurs et les producteurs contre des pertes évitables", relève la Banque mondiale.
Selon le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d'Ivoire, Pierre Laporte, chacun des piliers de cette opération est associé à des mesures structurelles de nature à soutenir la transformation économique qui s'opère actuellement dans le pays, et qui repose notamment sur la volonté de régler les problèmes de politique économique qui ont fait obstacle, ces dernières années, à une croissance plus inclusive et partagée.
Ce programme de financement fait partie intégrante du cadre de partenariat entre le groupe de la Banque mondiale et la Côte d'Ivoire pour la période 2016-2019, lui-même conçu pour soutenir le Plan de développement national 2016-2020.
Après deux décennies de récession due aux crises militaro-politiques, le pays connaît une embellie économique depuis 2012 avec un taux de croissance annuelle moyen de 9%.
"Ce financement, deuxième d'une série de trois opérations, appuie les politiques de développement axées sur les enjeux budgétaires importants et sur les secteurs de l'éducation, de l'énergie et la filière du cacao, essentiels à une croissance plus inclusive", indique la banque dans une note d'information transmise vendredi à Xinhua.
Il s'agit d'un crédit de l'Association internationale de développement (IDA), une institution de la Banque mondiale, d'un montant de "125 millions de dollars afin de soutenir les efforts entrepris par les autorités pour favoriser une croissance durable et solidaire et renforcer la résilience de l'économie aux chocs", précise la note d'information.
"Dans le domaine des finances publiques, cette opération portera sur la suppression de plusieurs exonérations de TVA, dans le but d'augmenter les recettes fiscales de 18 milliards de francs CFA en 2018", selon la Banque mondiale.
Dans le secteur de l'éducation, elle permettra d'augmenter la durée des enseignements et de prendre en charge les élèves, en particulier ceux en difficulté scolaire. En matière d'énergie, le crédit sera consacré au traitement par l'État des factures d'électricité impayées, contribuant à accroître les recettes sans hausser les tarifs.
"La promotion de la transparence dans la filière du cacao permettra à la Côte d'Ivoire d'atténuer les risques et de protéger les pouvoirs publics, les exportateurs et les producteurs contre des pertes évitables", relève la Banque mondiale.
Selon le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d'Ivoire, Pierre Laporte, chacun des piliers de cette opération est associé à des mesures structurelles de nature à soutenir la transformation économique qui s'opère actuellement dans le pays, et qui repose notamment sur la volonté de régler les problèmes de politique économique qui ont fait obstacle, ces dernières années, à une croissance plus inclusive et partagée.
Ce programme de financement fait partie intégrante du cadre de partenariat entre le groupe de la Banque mondiale et la Côte d'Ivoire pour la période 2016-2019, lui-même conçu pour soutenir le Plan de développement national 2016-2020.
Après deux décennies de récession due aux crises militaro-politiques, le pays connaît une embellie économique depuis 2012 avec un taux de croissance annuelle moyen de 9%.