Abidjan - La Ligue de football professionnel, réunie en assemblée générale, a adopté, jeudi, l’utilisation de l'arbitrage vidéo pour les championnats français, dès la saison prochaine en Ligue 1.
Comme en Allemagne ou en Italie, où elle est entrée en vigueur cette saison, l’assistance vidéo à l’arbitrage sera utilisée dans quatre cas de figure: après un but marqué, sur une situation de penalty, pour un carton rouge direct ou pour corriger une erreur d’identité d’un joueur sanctionné.
Il ne manque plus maintenant que la validation du Collège de l'Association de football international (IFAB), l’organisme en charge les lois du jeu, pour que cette décision soit entérinée. Cela devrait intervenir en mars prochain.
« Je crois que c’est une bonne initiative, tous les présidents de clubs le souhaitent, les arbitres aussi, les autres observateurs aussi je crois », a assuré le président de la Fédération française de forotball (FFF), Noël Le Graët.
« Je pense qu’il faut faire comme la plupart des pays développés et suivre le mouvement. Au moins pour certaines actions, la vidéo est nécessaire », a pour sa part, observé le président de Lyon, Jean-Michel Aulas.
L’arbitrage vidéo est « inévitable » pour dissiper les polémiques mais il risque d’ôter la « spontanéité » du football, avait estimé l’entraîneur du Real Madrid, Zinédine Zidane.
(AIP)
nmfa/fmo
Comme en Allemagne ou en Italie, où elle est entrée en vigueur cette saison, l’assistance vidéo à l’arbitrage sera utilisée dans quatre cas de figure: après un but marqué, sur une situation de penalty, pour un carton rouge direct ou pour corriger une erreur d’identité d’un joueur sanctionné.
Il ne manque plus maintenant que la validation du Collège de l'Association de football international (IFAB), l’organisme en charge les lois du jeu, pour que cette décision soit entérinée. Cela devrait intervenir en mars prochain.
« Je crois que c’est une bonne initiative, tous les présidents de clubs le souhaitent, les arbitres aussi, les autres observateurs aussi je crois », a assuré le président de la Fédération française de forotball (FFF), Noël Le Graët.
« Je pense qu’il faut faire comme la plupart des pays développés et suivre le mouvement. Au moins pour certaines actions, la vidéo est nécessaire », a pour sa part, observé le président de Lyon, Jean-Michel Aulas.
L’arbitrage vidéo est « inévitable » pour dissiper les polémiques mais il risque d’ôter la « spontanéité » du football, avait estimé l’entraîneur du Real Madrid, Zinédine Zidane.
(AIP)
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