‘’ La Grève des Serveuses’’, le roman du journaliste-écrivain Jean-Léopold Gnabry paru aux Editions Harmattan, a été présenté, jeudi, à la presse, dans une librairie de la place à Cocody, quartier à l’Est d’Abidjan.
Un ouvrage de 268 pages écrit dans un style aussi soutenu que populaire avec par moment du ‘’nouchi’’ (langage de la rue, mélange de français et de langue locale) est une véritable satire sociale.
‘’La Grève des Serveuses’’, incarne, selon l’auteur, ‘’le combat de la dignité, de la liberté, de la souveraineté, de l’autonomisation et de l’unité’’, mené par trois jeunes filles Denise, Eliane et Aïsha, ‘’leaders des serveuses de maquis, bars, hôtels…’’ qui vont lutter pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Sous leur impulsion, les serveuses de la République décident d’observer un arrêt de travail le jour de la Saint-Sylvestre pour exiger, de leur patronat dirigé par un tout-puissant homme d’affaires, ‘’ami et bras droit du président de la République’’, une revalorisation salariale.
A travers l’œuvre, l’auteur Jean-Léopold Gnabry renseigne que ‘’la vision, la conviction, la foi et la détermination sont les maitres mots qui sous-tendent la lutte sociale’’ où s’entrechoquent harcèlement, droit de cuissage et pratiques occultes qui rythment le show-biz.
‘‘La Grève des Serveuses’’ rend hommage à toutes ces femmes qui refusent la misère, la fatalité, l’esclavage, l’asservissement et l’aliénation. C’est un encouragement à la femme battante et à toutes les associations féminines qui militent en faveur de la justice et des droits de la femme.
HS/ls/APA
Un ouvrage de 268 pages écrit dans un style aussi soutenu que populaire avec par moment du ‘’nouchi’’ (langage de la rue, mélange de français et de langue locale) est une véritable satire sociale.
‘’La Grève des Serveuses’’, incarne, selon l’auteur, ‘’le combat de la dignité, de la liberté, de la souveraineté, de l’autonomisation et de l’unité’’, mené par trois jeunes filles Denise, Eliane et Aïsha, ‘’leaders des serveuses de maquis, bars, hôtels…’’ qui vont lutter pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Sous leur impulsion, les serveuses de la République décident d’observer un arrêt de travail le jour de la Saint-Sylvestre pour exiger, de leur patronat dirigé par un tout-puissant homme d’affaires, ‘’ami et bras droit du président de la République’’, une revalorisation salariale.
A travers l’œuvre, l’auteur Jean-Léopold Gnabry renseigne que ‘’la vision, la conviction, la foi et la détermination sont les maitres mots qui sous-tendent la lutte sociale’’ où s’entrechoquent harcèlement, droit de cuissage et pratiques occultes qui rythment le show-biz.
‘‘La Grève des Serveuses’’ rend hommage à toutes ces femmes qui refusent la misère, la fatalité, l’esclavage, l’asservissement et l’aliénation. C’est un encouragement à la femme battante et à toutes les associations féminines qui militent en faveur de la justice et des droits de la femme.
HS/ls/APA