Le Président Alassane Ouattara a procédé le 15 décembre 2017 à l’inauguration du Centre hospitalier universitaire (Chu) d’Angré, en présence de plusieurs membres du gouvernement dont Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique qu’il a tenu particulièrement à féliciter pour s’être investie pleinement pour faire aboutir ce projet.
Comme le veut la tradition, la cérémonie de libation est revenue de droit au village d’Abobo-Baoulé, propriétaire terrien et exécutée par M. Danho Djonka Clément, doyen d’âge du village. Une situation qui vient mettre fin au litige qui oppose la chefferie de Djrogobi-Té à celle d’Abobo-Baoulé. Et pour cause, avant le début de la cérémonie, le protocole a rappelé à l’ordre la notabilité de Djrogobi-té qui voulait de force s’approprier le terrain. Sans bruit, le chef de Djrogobi-Té et sa suite ont été priés de libérer les chaises qu’ils avaient occupées pour céder la place à leur véritable tuteur, la notabilité d’Abobo-Baoulé. C’est ainsi que le Chef Amondji Djongon Claude et sa notabilité vont occuper la place qui leur avait été réservé. Ce geste a suscité des commentaires et a remis au goût du jour ce malheureux conflit injustement créé par certaines personnes. Cette cérémonie montre enfin le chemin de la sagesse à ceux qui hésitent encore à régler définitivement ce problème. “On pourrait dire que le Chu d’Angré a vaincu le mal (conflit) Abobo-Baoulé-Djorogobi-té.”
Etienne Atta
Comme le veut la tradition, la cérémonie de libation est revenue de droit au village d’Abobo-Baoulé, propriétaire terrien et exécutée par M. Danho Djonka Clément, doyen d’âge du village. Une situation qui vient mettre fin au litige qui oppose la chefferie de Djrogobi-Té à celle d’Abobo-Baoulé. Et pour cause, avant le début de la cérémonie, le protocole a rappelé à l’ordre la notabilité de Djrogobi-té qui voulait de force s’approprier le terrain. Sans bruit, le chef de Djrogobi-Té et sa suite ont été priés de libérer les chaises qu’ils avaient occupées pour céder la place à leur véritable tuteur, la notabilité d’Abobo-Baoulé. C’est ainsi que le Chef Amondji Djongon Claude et sa notabilité vont occuper la place qui leur avait été réservé. Ce geste a suscité des commentaires et a remis au goût du jour ce malheureux conflit injustement créé par certaines personnes. Cette cérémonie montre enfin le chemin de la sagesse à ceux qui hésitent encore à régler définitivement ce problème. “On pourrait dire que le Chu d’Angré a vaincu le mal (conflit) Abobo-Baoulé-Djorogobi-té.”
Etienne Atta