Depuis 10 ans, l’alcool et la drogue au volant représente la première cause de mortalité sur les routes de Côte d’Ivoire, a fait remarquer, jeudi, à Bouaké (Centre-Nord), le Directeur régional (DR) des transports de Gbêkê, Brahima Sako.
L’expert en sécurité routière s’exprimait lors d’une conférence publique qu’il a animée dans le cadre de la journée de sensibilisation de l’Organisation non gouvernementale (ONG) La discipline routière sur le thème : « les méfaits de l’alcool et de la drogue et autres excitants dans la conduite automobile à Bouaké ».
Selon M. Sako, en Côte d’Ivoire, les auteurs des accidents sont le plus souvent ‘’saoulés’’ ou ‘’drogués’’.
‘’L’association de la consommation de la drogue et de l’alcool représente un danger pour les usagers de la route’’ car de plus en plus ‘’quand il y a un accident on trouve que le gars est saoulé ou drogué’’, a-t-il souligné en présence du représentant du ministre des transports, des autorités locales et de quelques acteurs du secteur des transports à Bouaké.
‘’Plus la dose de l’alcool ou de la drogue est élevée plus les effets sur l’organisme sont importants’’, a-t-il indiqué, précisant qu’en Côte d’Ivoire le taux requis de présence d’alcool dans le sang au volant ne doit pas dépasser 0, 8 g sinon on s’expose à un délit.
Le conférencier a énuméré quelques types de drogues qui sont le plus fréquemment utilisés dans les gares routières, notamment la cocaïne, l’héroïne, les champignons et les colles inhalant (beaucoup prisées à Bouaké selon lui).
‘’L’alcool et la drogue ont pour conséquence d’exclure le centre du cerveau qui sert à traiter correctement les informations. Le conducteur est donc inapte quelque soit le produit qu’il a inhalé’’, a fait savoir Brahima Sako.
Les effets de l’alcool et de la drogue sont, selon lui, entre autres, la somnolence, la diminution de l’attention et des réflexes du conducteur, des troubles de vision ainsi que la sous-estimation du danger, la mauvaise coordination dans les mouvements, et des crises de panique et de violence.
CK/hs/ls/APA
L’expert en sécurité routière s’exprimait lors d’une conférence publique qu’il a animée dans le cadre de la journée de sensibilisation de l’Organisation non gouvernementale (ONG) La discipline routière sur le thème : « les méfaits de l’alcool et de la drogue et autres excitants dans la conduite automobile à Bouaké ».
Selon M. Sako, en Côte d’Ivoire, les auteurs des accidents sont le plus souvent ‘’saoulés’’ ou ‘’drogués’’.
‘’L’association de la consommation de la drogue et de l’alcool représente un danger pour les usagers de la route’’ car de plus en plus ‘’quand il y a un accident on trouve que le gars est saoulé ou drogué’’, a-t-il souligné en présence du représentant du ministre des transports, des autorités locales et de quelques acteurs du secteur des transports à Bouaké.
‘’Plus la dose de l’alcool ou de la drogue est élevée plus les effets sur l’organisme sont importants’’, a-t-il indiqué, précisant qu’en Côte d’Ivoire le taux requis de présence d’alcool dans le sang au volant ne doit pas dépasser 0, 8 g sinon on s’expose à un délit.
Le conférencier a énuméré quelques types de drogues qui sont le plus fréquemment utilisés dans les gares routières, notamment la cocaïne, l’héroïne, les champignons et les colles inhalant (beaucoup prisées à Bouaké selon lui).
‘’L’alcool et la drogue ont pour conséquence d’exclure le centre du cerveau qui sert à traiter correctement les informations. Le conducteur est donc inapte quelque soit le produit qu’il a inhalé’’, a fait savoir Brahima Sako.
Les effets de l’alcool et de la drogue sont, selon lui, entre autres, la somnolence, la diminution de l’attention et des réflexes du conducteur, des troubles de vision ainsi que la sous-estimation du danger, la mauvaise coordination dans les mouvements, et des crises de panique et de violence.
CK/hs/ls/APA