San Pedro, 21 jan (AIP) – A l’occasion de la cérémonie traditionnelle de présentation de vœux du personnel du Port autonome de San Pedro (PASP) à son Directeur général, Hilaire Lamizana, celui-ci a dressé un bilan des activités de l’année écoulée, en soulignant qu’en dépit de nombreuses difficultés traversées durant l’année 2017, celle-ci a été une bonne année pour le PASP, au regard des résultats obtenus.
Le DG a indiqué à cette soirée de vendredi que le trafic global du PASP est « resté quasiment constant sur les trois dernières années », pendant que le trafic domestique connaît une hausse considérable, se situant à près de 2 900 000 tonnes réalisées, soit un taux d’évolution de plus de 13% des importations, des exportations et transit à fin 2017, en comparaison à 2016.
Hilaire Lamizana a insisté sur cette performance parce que, a-t-il souligné, « pour la toute première fois, le trafic origine-destination, le trafic import-export passe le cap de 2 millions de tonnes, c’est-à-dire tout le trafic qui était réalisé au préalable par le port de San Pedro ». Et ici, le flux export fait un peu plus de 2 millions de tonnes tandis que les 900 mille tonnes approximatives concernent essentiellement le trafic import.
Concernant le trafic particulièrement du cacao, celui-ci passe le cap du 1 million de tonne pour la toute première fois, « positionnant définitivement le Port autonome de San Pedro comme port leader dans l’exportation du cacao au niveau mondial », note le DG du PASP.
Au regard de ces résultats, le DG a salué le travail collectif effectué par l’ensemble du personnel du port. « Jamais ces résultats auraient pu être réalisés sans l’engagement de tous. Félicitation !», a déclaré Hilaire Lamizana.
La Direction générale du PASP a exprimé sa fierté en évoquant ces résultats parce que, a-t-on rappelé, « L’environnement global en 2017 a été particulièrement difficile ». Le PASP a dû faire face à de nombreux défis, dont la question de fluidité routière du fait de dégradations aggravées des routes de dessertes du PASP, liées aux abondantes et violentes pluies de juin, la recrudescence de l’insécurité sur les corridors de desserte, des pertes de trafics, notamment de cacao, de coton, et d’huile de palme. Ces pluies ont empêché d’effectuer en toute sécurité, dans cette période, toutes les opérations de manutention au niveau du PASP, a-t-on souligné.
(AIP)
jmk/fmo
Le DG a indiqué à cette soirée de vendredi que le trafic global du PASP est « resté quasiment constant sur les trois dernières années », pendant que le trafic domestique connaît une hausse considérable, se situant à près de 2 900 000 tonnes réalisées, soit un taux d’évolution de plus de 13% des importations, des exportations et transit à fin 2017, en comparaison à 2016.
Hilaire Lamizana a insisté sur cette performance parce que, a-t-il souligné, « pour la toute première fois, le trafic origine-destination, le trafic import-export passe le cap de 2 millions de tonnes, c’est-à-dire tout le trafic qui était réalisé au préalable par le port de San Pedro ». Et ici, le flux export fait un peu plus de 2 millions de tonnes tandis que les 900 mille tonnes approximatives concernent essentiellement le trafic import.
Concernant le trafic particulièrement du cacao, celui-ci passe le cap du 1 million de tonne pour la toute première fois, « positionnant définitivement le Port autonome de San Pedro comme port leader dans l’exportation du cacao au niveau mondial », note le DG du PASP.
Au regard de ces résultats, le DG a salué le travail collectif effectué par l’ensemble du personnel du port. « Jamais ces résultats auraient pu être réalisés sans l’engagement de tous. Félicitation !», a déclaré Hilaire Lamizana.
La Direction générale du PASP a exprimé sa fierté en évoquant ces résultats parce que, a-t-on rappelé, « L’environnement global en 2017 a été particulièrement difficile ». Le PASP a dû faire face à de nombreux défis, dont la question de fluidité routière du fait de dégradations aggravées des routes de dessertes du PASP, liées aux abondantes et violentes pluies de juin, la recrudescence de l’insécurité sur les corridors de desserte, des pertes de trafics, notamment de cacao, de coton, et d’huile de palme. Ces pluies ont empêché d’effectuer en toute sécurité, dans cette période, toutes les opérations de manutention au niveau du PASP, a-t-on souligné.
(AIP)
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