Séguéla – Confectionnées et disponibles au bureau régional de l’Office national d’identification (ONI) pour le Worodougou et le Béré, 1 721 CNI attendent d’être retirées par les requérants a appris l’AIP ,mardi, auprès du coordonnateur dudit bureau, Iritié By Fahouri.
« Le problème qu’on a, c’est que les populations ne viennent pas retirer leurs cartes », a-t-il fait savoir, précisant que ce sont 1 103 CNI produites de 2008 à 2009 et 618 sur la période de 2015 à 2018, après la reprise des opérations d’identification depuis juillet 2014.
Face à cette difficulté, les agents locaux de l’ONI ont initié des ‘’distributions de proximité’’ en associant les guides religieux, les chefs de village, les présidents de jeunesse et parfois même les chefs des différentes grandes familles.
« Nous, on leur demande de faire un tour ici à la sous-préfecture, le jour du marché », avait confié, vendredi, le sous-préfet de Diarabana, Ahoré Gnabré Hermann Daniel qui a actuellement plus de 200 CNI dans ses bureaux.
« Aujourd’hui, l’ONI facilite la tâche aux populations. Elle va vers elles, pourvu qu’elles en fassent la demande par l’intermédiaire du sous-préfet », a ajouté Iritié By Fahouri.
L’ONI dont les objectifs sont, entre autres, la mise en œuvre de la politique de l’état civil en liaison avec les officiers, les agents d’état civil et les autorités judiciaires, ainsi que l’identification des populations, confectionne les CNI et les attestations d’identité pour les nationaux et les cartes de résident pour les non-nationaux, note-t-on.
kkp/akn/fmo
« Le problème qu’on a, c’est que les populations ne viennent pas retirer leurs cartes », a-t-il fait savoir, précisant que ce sont 1 103 CNI produites de 2008 à 2009 et 618 sur la période de 2015 à 2018, après la reprise des opérations d’identification depuis juillet 2014.
Face à cette difficulté, les agents locaux de l’ONI ont initié des ‘’distributions de proximité’’ en associant les guides religieux, les chefs de village, les présidents de jeunesse et parfois même les chefs des différentes grandes familles.
« Nous, on leur demande de faire un tour ici à la sous-préfecture, le jour du marché », avait confié, vendredi, le sous-préfet de Diarabana, Ahoré Gnabré Hermann Daniel qui a actuellement plus de 200 CNI dans ses bureaux.
« Aujourd’hui, l’ONI facilite la tâche aux populations. Elle va vers elles, pourvu qu’elles en fassent la demande par l’intermédiaire du sous-préfet », a ajouté Iritié By Fahouri.
L’ONI dont les objectifs sont, entre autres, la mise en œuvre de la politique de l’état civil en liaison avec les officiers, les agents d’état civil et les autorités judiciaires, ainsi que l’identification des populations, confectionne les CNI et les attestations d’identité pour les nationaux et les cartes de résident pour les non-nationaux, note-t-on.
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