II existe des périodes de l’histoire de l’humanité ou des peuples sont appelés à faire des choix capitaux afin de donner un contenu innovateur à leur devenir.
En effet; face aux bouleversements majeurs et aux défis nouveaux de la mondialisation, du développement durable, de l’appropriation des NTIC, la cohésion sociale, l’unité nationale, les institutions fortes et indépendantes, la discipline et le travail sont les seuls gages qui peuvent nous permettre de répondre et de garantir à notre jeune nation un avenir au sein de ce continent et dans le concert des nations.
Pour le candidat SERI IBRAHIM, c’est uniquement en joignant nos forces, nos énergies que nous serons capables de promouvoir des valeurs cardinales qui nous sont propres et mettre en exergue notre identité collective dans ce monde en mutation constante et dans une Afrique en quête d’affirmation.
Ensemble, nous y arriverons, ensemble nous demeurerons, et ensemble nous en jouirons. Car, les efforts convergents déployés par nos concitoyens pour hisser ce pays au rang de nation prospère devraient être récompensés par une juste répartition des richesses produites et la prise en compte des écarts de développement dans la mise en œuvre des projets de développement.
Le candidat SERI IBRAHIM prône la culture de la vision centriste, du patriotisme tout tant intégrant celle de la citoyenneté universelle afin de faire de notre pays un fédérateur des énergies, des compétences, des moyens et des aptitudes pour une gouvernance au diapason des principes universels tels que définis par la charte universelle des droits de l’homme, du respect des engagements internationaux, synonyme de l’espérance d’un monde meilleur, plus sûr, plus pacifique et plus juste, plus démocratique, un monde où la stabilité, la justice sociale, la préservation des droits économiques et sociaux, la protection des droits fondamentaux seront le gage d’une nation apte à satisfaire les contingences et les attentes de ses progénitures.
Le candidat SERI propose à chaque ivoirien, la solidarité de ses concitoyens, la justice sociale, la démocratie et la liberté. C’est pourquoi la prise en compte des minorités et des femmes, des oubliés de la société, des sans voix reste primordiale dans l’atteinte des objectifs.
Ensemble, nous bâtirons ce pays, ce continent pour en faire un monde meilleur où il fait beau vivre.
L’humanité d’abord tel est mon slogan qui justifie mon attachement pour le bien être de tous.
Tant qu’il y aura en Afrique, des hommes et des femmes politiques intellectuels, mais surtout cultivés, responsables et capables d’apprécier quelque soit leurs divergences les efforts de leurs adversaires politiques, dans l’intérêt supérieur de leur nation respective, et sensibles aux souffrances des peuples, l’Afrique, berceau de la première conscience humaine, pourra aussi être appelée berceau des institutions fortes. Car une institution forte est un état de conscience positif mis au service de ses concitoyens, de l’humanité ou la liberté devient richesse positive en se transformant en amour réciproque et en solidarité fraternelle, synonymes de bonne gouvernance politique, économique, sociale pour une cohésion sociale apaisée, démocratique et inclusive dans laquelle les droits humains suivent la trajectoire de la démocratie.
L’homme étant responsable du monde et de lui-même en tant que manière d’être, son refus d’entrer dans l’histoire de son pays l’amène à ignorer l’importance de la colonialité tangible (la frontière), cette membrane vibratoire de l’expansion qui devrait être un facteur d’intégration réciproque de développement économique est malheureusement vue ou utilisée comme moyen d’exclusion et de discrimination.
L’homme Africain doit comprendre qu’une nation ne naît pas grande mais elle la dévient en rentrant courageusement dans son histoire pour l’intérêt supérieur de ses citoyens et de l’humanité. C’est pourquoi, je demande aux africains de rentrer courageusement dans leur histoire afin de donner un contenu
innovateur à leur devenir.
Cette analyse rétrospective politique qui leur permettra d’éviter les conséquences des crises d’hier. Tout ce que nous avons vécu et continuions de vivre n’est pas une fatalité historique. C’est l’œuvre des hommes car les oppositions des ethnies, des régions, les incendies de certains villages, les rébellions, les guerres, les frustrations, les exclusions, les emprisonnements, les disparitions et l’exil forcé naissent de l’esprit des hommes alors, l’unité nationale, la cohésion sociale, la stabilité et la paix doivent aussi naitre de l’esprit des hommes. La solution à la paix en Côte d’Ivoire se trouve dans l’esprit des ivoiriens des ivoiriens eux-mêmes et non dans l’esprit d’autrui.
Par conséquent, le pèlerinage à la CPI de certains hommes politiques n’est pas la solution à la paix. Car plusieurs années de pèlerinage du chat à la Mecque ou au Vatican n’empêchent pas la méfiance et la prudence de la souris.
Les ivoiriens sont assez matures pour comprendre vos mesquineries politiques comiques. Un célèbre écrivain Africain disait en ces termes « lorsqu’un vieillard meurt en Afrique c’est une bibliothèque qui brûle ». Mais à ce vingt et unième siècle vu l’attitude politique de certains vieillards qui se comportent comme des véritables catastrophes humaines ambulantes, je suis même tenté de dire que lorsqu’un vieillard meurt en Afrique c’est la jeunesse qui est libérée.
Ce contenu innovateur doit faire prendre conscience aux Africains pour qu’ils arrêtent de vivre par procuration sécuritaire, économique et politique. Et prendre leur propre destin en main, car celui qui dort sur la natte d’autrui aura toujours le sommeil troublé. Tu as beau lavé le corbeau il sera toujours noir. Le caméléon aura beau changé de couleur il restera toujours caméléon. Les Africains auront beau changé de continent ils resteront toujours Africains.
Les ivoiriens quelque soit leur appartenance ethnique politique, religieuse, culturelle etc… resteront toujours ivoiriens et sont condamnés par la nature à vivre ensemble.
Impossible n’étant pas humain, pour répondre à tous ces défis le candidat SERI IBRAHIM dit : quand il sera élu président de la république de Côte d’Ivoire, il fera de la lutte contre la corruption, de la promotion de la sécurité climatique, agricole, du partenariat industrialisé et de la bonne gouvernance son cheval de bataille.
Un dialogue socio-politico historique sera organisé qui aboutira à une amnistie générale, une priorité réconciliatrice impérative incontestée et incontestable allant de la période de l’indépendance à nos jours, car ce que nous vivons aujourd’hui a été déjà vécu. Cette tribune sera l’occasion pour les hommes politiques d’hier de se racheter auprès du peuple ivoirien en lui présentant des excuses et un repenti sincère pour lui avoir caché l’histoire car « nul n’a le droit d’effacer une page de l’histoire d’un peuple, car un peuple sans histoire est un monde sans âme ». Disait : Alain Focard.
Ceux d’aujourd’hui devraient en faire autant pour avoir manqué de curiosité historique.
« Le vrai bonheur on ne l’apprécie qu’après l’avoir perdu » disait : Félix Houphouët Boigny qui ne parlait pas de sa propre personne mais plutôt de notre capacité à résoudre nos différends pour l’intérêt supérieur de la nation en fonction des valeurs morales qu’il nous a inculqué en nous scolarisant avec l’argent du pauvre contribuable ivoirien. L’humanité doit
comprendre que même Dieu n’est pas le bonheur mais plutôt la mise en pratique positive de sa parole qui vous procure une satisfaction intérieure appelée bonheur. Pareille pour Satan qui n’est non plus le malheur mais plutôt la mise en pratique négative de sa parole qui vous procure une insatisfaction intérieure appelée malheur. Car le bonheur et le malheur ne sont pas dans le domaine de les avoir mais plutôt de les être. La paix c’est l’amour réciproque, la repentance, le pardon, la tolérance, la liberté, le partage, la fraternité, l’humilité, la modestie, la non-violence et la justice pour tous.
Monsieur SERI IBRAHIM veut faire de la Côte d’Ivoire un exemple d’Etat Nation, le Christ des Nations et un exemple de culture d’une Nation message.
Que Dieu le tout puissant bénisse la Côte d’Ivoire
Le Candidat Indépendant
SERI IBRAHIM SAINT CLAIR
En effet; face aux bouleversements majeurs et aux défis nouveaux de la mondialisation, du développement durable, de l’appropriation des NTIC, la cohésion sociale, l’unité nationale, les institutions fortes et indépendantes, la discipline et le travail sont les seuls gages qui peuvent nous permettre de répondre et de garantir à notre jeune nation un avenir au sein de ce continent et dans le concert des nations.
Pour le candidat SERI IBRAHIM, c’est uniquement en joignant nos forces, nos énergies que nous serons capables de promouvoir des valeurs cardinales qui nous sont propres et mettre en exergue notre identité collective dans ce monde en mutation constante et dans une Afrique en quête d’affirmation.
Ensemble, nous y arriverons, ensemble nous demeurerons, et ensemble nous en jouirons. Car, les efforts convergents déployés par nos concitoyens pour hisser ce pays au rang de nation prospère devraient être récompensés par une juste répartition des richesses produites et la prise en compte des écarts de développement dans la mise en œuvre des projets de développement.
Le candidat SERI IBRAHIM prône la culture de la vision centriste, du patriotisme tout tant intégrant celle de la citoyenneté universelle afin de faire de notre pays un fédérateur des énergies, des compétences, des moyens et des aptitudes pour une gouvernance au diapason des principes universels tels que définis par la charte universelle des droits de l’homme, du respect des engagements internationaux, synonyme de l’espérance d’un monde meilleur, plus sûr, plus pacifique et plus juste, plus démocratique, un monde où la stabilité, la justice sociale, la préservation des droits économiques et sociaux, la protection des droits fondamentaux seront le gage d’une nation apte à satisfaire les contingences et les attentes de ses progénitures.
Le candidat SERI propose à chaque ivoirien, la solidarité de ses concitoyens, la justice sociale, la démocratie et la liberté. C’est pourquoi la prise en compte des minorités et des femmes, des oubliés de la société, des sans voix reste primordiale dans l’atteinte des objectifs.
Ensemble, nous bâtirons ce pays, ce continent pour en faire un monde meilleur où il fait beau vivre.
L’humanité d’abord tel est mon slogan qui justifie mon attachement pour le bien être de tous.
Tant qu’il y aura en Afrique, des hommes et des femmes politiques intellectuels, mais surtout cultivés, responsables et capables d’apprécier quelque soit leurs divergences les efforts de leurs adversaires politiques, dans l’intérêt supérieur de leur nation respective, et sensibles aux souffrances des peuples, l’Afrique, berceau de la première conscience humaine, pourra aussi être appelée berceau des institutions fortes. Car une institution forte est un état de conscience positif mis au service de ses concitoyens, de l’humanité ou la liberté devient richesse positive en se transformant en amour réciproque et en solidarité fraternelle, synonymes de bonne gouvernance politique, économique, sociale pour une cohésion sociale apaisée, démocratique et inclusive dans laquelle les droits humains suivent la trajectoire de la démocratie.
L’homme étant responsable du monde et de lui-même en tant que manière d’être, son refus d’entrer dans l’histoire de son pays l’amène à ignorer l’importance de la colonialité tangible (la frontière), cette membrane vibratoire de l’expansion qui devrait être un facteur d’intégration réciproque de développement économique est malheureusement vue ou utilisée comme moyen d’exclusion et de discrimination.
L’homme Africain doit comprendre qu’une nation ne naît pas grande mais elle la dévient en rentrant courageusement dans son histoire pour l’intérêt supérieur de ses citoyens et de l’humanité. C’est pourquoi, je demande aux africains de rentrer courageusement dans leur histoire afin de donner un contenu
innovateur à leur devenir.
Cette analyse rétrospective politique qui leur permettra d’éviter les conséquences des crises d’hier. Tout ce que nous avons vécu et continuions de vivre n’est pas une fatalité historique. C’est l’œuvre des hommes car les oppositions des ethnies, des régions, les incendies de certains villages, les rébellions, les guerres, les frustrations, les exclusions, les emprisonnements, les disparitions et l’exil forcé naissent de l’esprit des hommes alors, l’unité nationale, la cohésion sociale, la stabilité et la paix doivent aussi naitre de l’esprit des hommes. La solution à la paix en Côte d’Ivoire se trouve dans l’esprit des ivoiriens des ivoiriens eux-mêmes et non dans l’esprit d’autrui.
Par conséquent, le pèlerinage à la CPI de certains hommes politiques n’est pas la solution à la paix. Car plusieurs années de pèlerinage du chat à la Mecque ou au Vatican n’empêchent pas la méfiance et la prudence de la souris.
Les ivoiriens sont assez matures pour comprendre vos mesquineries politiques comiques. Un célèbre écrivain Africain disait en ces termes « lorsqu’un vieillard meurt en Afrique c’est une bibliothèque qui brûle ». Mais à ce vingt et unième siècle vu l’attitude politique de certains vieillards qui se comportent comme des véritables catastrophes humaines ambulantes, je suis même tenté de dire que lorsqu’un vieillard meurt en Afrique c’est la jeunesse qui est libérée.
Ce contenu innovateur doit faire prendre conscience aux Africains pour qu’ils arrêtent de vivre par procuration sécuritaire, économique et politique. Et prendre leur propre destin en main, car celui qui dort sur la natte d’autrui aura toujours le sommeil troublé. Tu as beau lavé le corbeau il sera toujours noir. Le caméléon aura beau changé de couleur il restera toujours caméléon. Les Africains auront beau changé de continent ils resteront toujours Africains.
Les ivoiriens quelque soit leur appartenance ethnique politique, religieuse, culturelle etc… resteront toujours ivoiriens et sont condamnés par la nature à vivre ensemble.
Impossible n’étant pas humain, pour répondre à tous ces défis le candidat SERI IBRAHIM dit : quand il sera élu président de la république de Côte d’Ivoire, il fera de la lutte contre la corruption, de la promotion de la sécurité climatique, agricole, du partenariat industrialisé et de la bonne gouvernance son cheval de bataille.
Un dialogue socio-politico historique sera organisé qui aboutira à une amnistie générale, une priorité réconciliatrice impérative incontestée et incontestable allant de la période de l’indépendance à nos jours, car ce que nous vivons aujourd’hui a été déjà vécu. Cette tribune sera l’occasion pour les hommes politiques d’hier de se racheter auprès du peuple ivoirien en lui présentant des excuses et un repenti sincère pour lui avoir caché l’histoire car « nul n’a le droit d’effacer une page de l’histoire d’un peuple, car un peuple sans histoire est un monde sans âme ». Disait : Alain Focard.
Ceux d’aujourd’hui devraient en faire autant pour avoir manqué de curiosité historique.
« Le vrai bonheur on ne l’apprécie qu’après l’avoir perdu » disait : Félix Houphouët Boigny qui ne parlait pas de sa propre personne mais plutôt de notre capacité à résoudre nos différends pour l’intérêt supérieur de la nation en fonction des valeurs morales qu’il nous a inculqué en nous scolarisant avec l’argent du pauvre contribuable ivoirien. L’humanité doit
comprendre que même Dieu n’est pas le bonheur mais plutôt la mise en pratique positive de sa parole qui vous procure une satisfaction intérieure appelée bonheur. Pareille pour Satan qui n’est non plus le malheur mais plutôt la mise en pratique négative de sa parole qui vous procure une insatisfaction intérieure appelée malheur. Car le bonheur et le malheur ne sont pas dans le domaine de les avoir mais plutôt de les être. La paix c’est l’amour réciproque, la repentance, le pardon, la tolérance, la liberté, le partage, la fraternité, l’humilité, la modestie, la non-violence et la justice pour tous.
Monsieur SERI IBRAHIM veut faire de la Côte d’Ivoire un exemple d’Etat Nation, le Christ des Nations et un exemple de culture d’une Nation message.
Que Dieu le tout puissant bénisse la Côte d’Ivoire
Le Candidat Indépendant
SERI IBRAHIM SAINT CLAIR