Le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a invité, jeudi à Abidjan, les patrons de presse à ‘’traiter avec dignité’’ leurs employés, en respectant notamment le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG).
«Continuer de traiter avec dignité vos employés et vos collaborateurs (…) le non-paiement du SMIG est contraire à la loi » , a dénoncé Alassane Ouattara lors d’une cérémonie de présentation de vœux à la presse et aux médias.
Il a réitéré à cette occasion son engagement pour une presse plus libre. «J’avais demandé que les projets déposés à l’Assemblée nationale proscrivent définitivement la garde à vue, la détention provisoire pour les infractions commises par voie de presse (…) Que les sanctions pécuniaires soient plus fortement réduites », a-t-il souligné face aux hommes de médias annonçant dans la foulée l’augmentation de la subvention accordée à la presse qui est passé de 598 millions de F CFA à 4 milliards de FCFA.
L’évolution de la Côte d’Ivoire en matière de liberté de la presse a également été évoquée au cours de ces échanges. A ce sujet, le président Ouattara s’est réjoui du passage de la Côte d’Ivoire de la 159è place en 2012 à la 119è place en 2017.
Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Moussa Traoré a auparavant présenté «une presse ivoirienne malade, agonisante » , quand le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Patrice Yao a plaidé pour la mise en place d’une imprimerie pour l’impression des journaux à moindre coût.
SY/ls/APA
«Continuer de traiter avec dignité vos employés et vos collaborateurs (…) le non-paiement du SMIG est contraire à la loi » , a dénoncé Alassane Ouattara lors d’une cérémonie de présentation de vœux à la presse et aux médias.
Il a réitéré à cette occasion son engagement pour une presse plus libre. «J’avais demandé que les projets déposés à l’Assemblée nationale proscrivent définitivement la garde à vue, la détention provisoire pour les infractions commises par voie de presse (…) Que les sanctions pécuniaires soient plus fortement réduites », a-t-il souligné face aux hommes de médias annonçant dans la foulée l’augmentation de la subvention accordée à la presse qui est passé de 598 millions de F CFA à 4 milliards de FCFA.
L’évolution de la Côte d’Ivoire en matière de liberté de la presse a également été évoquée au cours de ces échanges. A ce sujet, le président Ouattara s’est réjoui du passage de la Côte d’Ivoire de la 159è place en 2012 à la 119è place en 2017.
Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Moussa Traoré a auparavant présenté «une presse ivoirienne malade, agonisante » , quand le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Patrice Yao a plaidé pour la mise en place d’une imprimerie pour l’impression des journaux à moindre coût.
SY/ls/APA