Abidjan - Le président de la République, Alassane Ouattara, quitte Abidjan ce vendredi pour la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, où il prendra part au 30è Sommet de l’Union africaine (UA) prévu pour dimanche et lundi, appris l’AIP sur le site de la présidence.
Ayant pour thème "Remporter la lutte contre la corruption: une voie durable vers la transformation de l’Afrique", ce sommet sera, sans doute, l’occasion pour les chefs d’Etat et de gouvernement africains d’adopter les réformes institutionnelles et financières au niveau de l’institution panafricaine dont les travaux ont confié au président rwandais, Paul Kagamé, il y a quelques temps.
D’ailleurs, le chef de l’Etat rwandais devrait succéder à son homologue guinéen, Alpha Condé, dont le mandat à la présidence de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA a pris fin.
Parmi les sujets sur la table des dirigeants africains la libéralisation du ciel africain, projet cher au président de la Commission de l’UA, Moussa Faki. D’ailleurs, a-t-il expliqué, si ce projet était finalisé, il favoriserait la réduction des coûts des vols aériens, la naissance de nouvelles compagnies africaines.
Autre sujet qui fera l’objet de débat, la zone de libre-échange continentale qui permettra à tous les pays africains d’avoir accès à un marché potentiel de 1,2 milliard de consommateurs. Au plan politique, l’Union africaine pourrait s’intéresser aux différentes crises qui jalonnent le continent.
De la République démocratique du Congo, au Soudan du Sud en passant par la République centrafricaine, le Togo et la Guinée-Bissau. A ces questions politiques, il faut ajouter celle de la migration illégale et le commerce de personnes en Libye, etc.
kp
Ayant pour thème "Remporter la lutte contre la corruption: une voie durable vers la transformation de l’Afrique", ce sommet sera, sans doute, l’occasion pour les chefs d’Etat et de gouvernement africains d’adopter les réformes institutionnelles et financières au niveau de l’institution panafricaine dont les travaux ont confié au président rwandais, Paul Kagamé, il y a quelques temps.
D’ailleurs, le chef de l’Etat rwandais devrait succéder à son homologue guinéen, Alpha Condé, dont le mandat à la présidence de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA a pris fin.
Parmi les sujets sur la table des dirigeants africains la libéralisation du ciel africain, projet cher au président de la Commission de l’UA, Moussa Faki. D’ailleurs, a-t-il expliqué, si ce projet était finalisé, il favoriserait la réduction des coûts des vols aériens, la naissance de nouvelles compagnies africaines.
Autre sujet qui fera l’objet de débat, la zone de libre-échange continentale qui permettra à tous les pays africains d’avoir accès à un marché potentiel de 1,2 milliard de consommateurs. Au plan politique, l’Union africaine pourrait s’intéresser aux différentes crises qui jalonnent le continent.
De la République démocratique du Congo, au Soudan du Sud en passant par la République centrafricaine, le Togo et la Guinée-Bissau. A ces questions politiques, il faut ajouter celle de la migration illégale et le commerce de personnes en Libye, etc.
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