Le Directeur général de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) et le président du Conseil régional de San Pedro ont signé vendredi une convention de mutualisation de fonds d’aide au développement socioéconomique des populations riveraines du parc national de Taï, à l’ouverture de la 1ère session budgétaire de l’exercice 2018 du conseil régional de San Pedro.
« Au lieu de partir en rang dispersé auprès des mêmes partenaires pour poser les mêmes problèmes, il faudrait qu’on fédère nos compétences pour mieux présenter nos projets, pour que ces projets soient pertinents, d’où cette convention », a expliqué le DG de l’OIPR, Colonel Tondossama Adama.
Selon le DG de l’OIPR, ce partenariat se justifie autant, parce qu’en plus d’œuvrer à la préservation des richesses végétales et animales du parc national de Taï, l’OIPR a également le devoir d’aider au bienêtre des populations riveraines. Or, souligne-t-il, le rôle premier du conseil régional étant d’œuvrer au développement socioéconomique des populations, une coopération des deux institutions s’avère utile pour fédérer les efforts et « rechercher des moyens additionnels pour aider les populations à vivre heureux dans cette région de San Pedro».
Le président du conseil régional de San Pedro, Beugré Donatien, a salué cette convention et insisté pour que, très vite, les deux partenaires passent à l’action auprès de bailleurs pour le financement de projets en faveur des populations.
Parc national de Taï, classé patrimoine mondial de l’UNESCO, s’étend sur 736 000 ha. Il est situé dans le Sud-Ouest du pays, entre les régions du Cavally, de San Pedro et de la Nawa. Atout forestier, ce parc contribue à la bonne pluviométrie dans ces régions, devenues la nouvelle boucle du cacao, avec 2000 millimètres de pluie par an, permettant ainsi de réaliser 40% de la production nationale de cacao, soit 16% de la production mondiale.
(AIP)
jmk/kam
« Au lieu de partir en rang dispersé auprès des mêmes partenaires pour poser les mêmes problèmes, il faudrait qu’on fédère nos compétences pour mieux présenter nos projets, pour que ces projets soient pertinents, d’où cette convention », a expliqué le DG de l’OIPR, Colonel Tondossama Adama.
Selon le DG de l’OIPR, ce partenariat se justifie autant, parce qu’en plus d’œuvrer à la préservation des richesses végétales et animales du parc national de Taï, l’OIPR a également le devoir d’aider au bienêtre des populations riveraines. Or, souligne-t-il, le rôle premier du conseil régional étant d’œuvrer au développement socioéconomique des populations, une coopération des deux institutions s’avère utile pour fédérer les efforts et « rechercher des moyens additionnels pour aider les populations à vivre heureux dans cette région de San Pedro».
Le président du conseil régional de San Pedro, Beugré Donatien, a salué cette convention et insisté pour que, très vite, les deux partenaires passent à l’action auprès de bailleurs pour le financement de projets en faveur des populations.
Parc national de Taï, classé patrimoine mondial de l’UNESCO, s’étend sur 736 000 ha. Il est situé dans le Sud-Ouest du pays, entre les régions du Cavally, de San Pedro et de la Nawa. Atout forestier, ce parc contribue à la bonne pluviométrie dans ces régions, devenues la nouvelle boucle du cacao, avec 2000 millimètres de pluie par an, permettant ainsi de réaliser 40% de la production nationale de cacao, soit 16% de la production mondiale.
(AIP)
jmk/kam
