Bouna - Les eaux de la Volta noire, fleuve qui sert de frontière naturelle entre la Côte d'Ivoire et le Ghana dans la région du Bounkani (Nord-Est), vont bientôt être traitées pour desservir Bouna et ses environs, a indiqué à l'AIP, le directeur territorial de l'hydraulique de cette zone, Boga Popé.
"Ce projet, financé par la Banque islamique de développement (BID), consiste à puiser les eaux de la Volta noire, les traiter à Vonkoro, localité située au large de ce fleuve, avant de les acheminer via des canalisations sur près de 35 km pour atteindre la ville de Bouna", a-t-il souligné.
L'objectif majeur de ce projet, supervisé sur le terrain par l'Office national de l'eau potable (ONEP), vise à renforcer résolument la capacité de distribution en eau potable dans les ménages à Bouna ainsi que les villages situés à la périphérie de cette ville.
Une nouvelle qui réjouit fortement les habitants de ce chef-lieu de région. Ceux-ci, suivant avec un intérêt particulier les travaux de réalisation de cet ouvrage, ont salué les autorités gouvernementales qui viennent ainsi enlever une épine à leur quotidien.
En effet, pendant la saison sèche, hommes femmes et enfants peinent à avoir de l'eau à Bouna. De véritables exodes vers les rares points d'eau de la ville sont fréquemment constatés.
Une situation longtemps décriée par les populations et qui engendre parfois tant de disputes ou même des bagarres dans les longues files d'attente aux abords de puits.
Le château d'eau de Bouna, vieux de 57 ans, n'arrive plus depuis une bonne décennie, à répondre aux exigences de la population, une population dont la démographie est d'ailleurs très galopante.
on/fmo
"Ce projet, financé par la Banque islamique de développement (BID), consiste à puiser les eaux de la Volta noire, les traiter à Vonkoro, localité située au large de ce fleuve, avant de les acheminer via des canalisations sur près de 35 km pour atteindre la ville de Bouna", a-t-il souligné.
L'objectif majeur de ce projet, supervisé sur le terrain par l'Office national de l'eau potable (ONEP), vise à renforcer résolument la capacité de distribution en eau potable dans les ménages à Bouna ainsi que les villages situés à la périphérie de cette ville.
Une nouvelle qui réjouit fortement les habitants de ce chef-lieu de région. Ceux-ci, suivant avec un intérêt particulier les travaux de réalisation de cet ouvrage, ont salué les autorités gouvernementales qui viennent ainsi enlever une épine à leur quotidien.
En effet, pendant la saison sèche, hommes femmes et enfants peinent à avoir de l'eau à Bouna. De véritables exodes vers les rares points d'eau de la ville sont fréquemment constatés.
Une situation longtemps décriée par les populations et qui engendre parfois tant de disputes ou même des bagarres dans les longues files d'attente aux abords de puits.
Le château d'eau de Bouna, vieux de 57 ans, n'arrive plus depuis une bonne décennie, à répondre aux exigences de la population, une population dont la démographie est d'ailleurs très galopante.
on/fmo