Le président du Front populaire ivoirien (Fpi), Pascal Affi N’Guessan, poursuit ses échanges avec les leaders des organisations politiques « significatives » de la Côte d’Ivoire dans le but de les amener à intégrer dans leur stratégie « la possibilité d’une alternative, d’un plan B et d’une nouvelle alliance dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire ». Il a rencontré, ce mercredi 7 février, à Cocody Ambassade, le président de l’Union pour la Démocratie et pour la Paix en Côte d’Ivoire (Udpci), Albert Mabri Toikeusse.
Pour le président du Fpi, la Côte d’Ivoire se trouve dans un contexte politique où, pour gouverner, il faut une majorité à travers une alliance. « Au Fpi, nous avons faire le constat et noté que cette alliance (Ndlr : Rhdp) qui a été conçu depuis 2005, qui gouverne, n’a pas atteint le résultat que les Ivoiriens attendaient. Le leader de cette alliance s’est engagé dans une politique de division, dans une politique qui n’a pas permis de construire l’unité nationale, de faire la réconciliation entre les filles et les fils de ce pays, de rebâtir une armée républicaine, d’assurer la sécurité des personnes et des biens, de promouvoir la bonne gouvernance et de lutter efficacement contre la pauvreté ». Dans ce contexte, poursuit le président Affi, « il appartient aux acteurs politique de réfléchir à l’avenir, de ne pas attendre que l’alliance actuelle chute avant d’envisager des rapprochements pour reconstruire une nouvelle alliance. Il faut donner une chance à la Côte d’Ivoire, demain si elle n’est pas satisfaite du Rhdp, de pouvoir promouvoir son développement à travers une nouvelle configuration politique ».
Parlant des élections locales, l’ex-premier ministre du président Laurent Gbagbo estime que ce sont des cadres de développements, de promotion du développement local. Et qu’«au-delà de la possibilité d’une alliance au niveau national, il y a des alliances circonstancielles et locales qui peuvent être construites ».
L’Udpci étant un parti « très important » sur l’échiquier politique national, Il était bon pour le président du Fpi de voir dans quelle mesure, à l’occasion des élections locales, ils pourront travailler ensemble pour bâtir au niveau local des équipes pour aider à résoudre les problèmes quotidiens que rencontrent les parents sur le terrain. Il n’a pas manqué d’indiquer que lui et sa délégation sont venus aussi pour souhaiter une bonne et heureuse année 2018 au président de l’Udpci, à l’ensemble de ses collaborateurs et à leur famille.
Quant au président de l’Udpci, il a demandé de ne jamais hésiter à avoir toujours recours au dialogue. « Nous sommes des enfants de rassemblement, les enfants du dialogue, nous sommes ouverts aux échanges, nous avons eu cet honneur de recevoir la délégation du président Affi et nous nous révérons certainement puisque nous nous engageons dans le dialogue sur des questions sensibles, sur des questions qui concernent le pays. L’Udpci est membre du Rhdp, nous avons des réunions en cours au niveau du Rhdp. Mais nous ne devons pas fermer la porte à des organisations politiques qui veulent discuter avec nous de la Côte d’Ivoire. C’est une bonne chose, je ne pense même pas qu’il y ait une formation politique au Rhdp qui refuse le dialogue », a-t-il affirmé. Avant de se prononcer sur la réforme de la Cei et du code électoral qui fait l’actualité. « Nous avons reçu la proposition de la société civile. Ce document nous l’avons depuis quelques heures maintenant, nous sommes en train de l’examiner et le moment venu, nous donnerons un peu notre avis sur ce document. Il est bon que tout ce qui se fera, surtout au plan électoral en Côte d’Ivoire en 2018, se fasse dans l’apaisement, dans la confiance retrouvée, dans la cohésion. La Côte d’Ivoire en a besoin ».
Pour le président du Fpi, la Côte d’Ivoire se trouve dans un contexte politique où, pour gouverner, il faut une majorité à travers une alliance. « Au Fpi, nous avons faire le constat et noté que cette alliance (Ndlr : Rhdp) qui a été conçu depuis 2005, qui gouverne, n’a pas atteint le résultat que les Ivoiriens attendaient. Le leader de cette alliance s’est engagé dans une politique de division, dans une politique qui n’a pas permis de construire l’unité nationale, de faire la réconciliation entre les filles et les fils de ce pays, de rebâtir une armée républicaine, d’assurer la sécurité des personnes et des biens, de promouvoir la bonne gouvernance et de lutter efficacement contre la pauvreté ». Dans ce contexte, poursuit le président Affi, « il appartient aux acteurs politique de réfléchir à l’avenir, de ne pas attendre que l’alliance actuelle chute avant d’envisager des rapprochements pour reconstruire une nouvelle alliance. Il faut donner une chance à la Côte d’Ivoire, demain si elle n’est pas satisfaite du Rhdp, de pouvoir promouvoir son développement à travers une nouvelle configuration politique ».
Parlant des élections locales, l’ex-premier ministre du président Laurent Gbagbo estime que ce sont des cadres de développements, de promotion du développement local. Et qu’«au-delà de la possibilité d’une alliance au niveau national, il y a des alliances circonstancielles et locales qui peuvent être construites ».
L’Udpci étant un parti « très important » sur l’échiquier politique national, Il était bon pour le président du Fpi de voir dans quelle mesure, à l’occasion des élections locales, ils pourront travailler ensemble pour bâtir au niveau local des équipes pour aider à résoudre les problèmes quotidiens que rencontrent les parents sur le terrain. Il n’a pas manqué d’indiquer que lui et sa délégation sont venus aussi pour souhaiter une bonne et heureuse année 2018 au président de l’Udpci, à l’ensemble de ses collaborateurs et à leur famille.
Quant au président de l’Udpci, il a demandé de ne jamais hésiter à avoir toujours recours au dialogue. « Nous sommes des enfants de rassemblement, les enfants du dialogue, nous sommes ouverts aux échanges, nous avons eu cet honneur de recevoir la délégation du président Affi et nous nous révérons certainement puisque nous nous engageons dans le dialogue sur des questions sensibles, sur des questions qui concernent le pays. L’Udpci est membre du Rhdp, nous avons des réunions en cours au niveau du Rhdp. Mais nous ne devons pas fermer la porte à des organisations politiques qui veulent discuter avec nous de la Côte d’Ivoire. C’est une bonne chose, je ne pense même pas qu’il y ait une formation politique au Rhdp qui refuse le dialogue », a-t-il affirmé. Avant de se prononcer sur la réforme de la Cei et du code électoral qui fait l’actualité. « Nous avons reçu la proposition de la société civile. Ce document nous l’avons depuis quelques heures maintenant, nous sommes en train de l’examiner et le moment venu, nous donnerons un peu notre avis sur ce document. Il est bon que tout ce qui se fera, surtout au plan électoral en Côte d’Ivoire en 2018, se fasse dans l’apaisement, dans la confiance retrouvée, dans la cohésion. La Côte d’Ivoire en a besoin ».