Yamoussoukro - La petite K.A.C, âgée de trois ans et quatre mois, violée par un inconnu il y a deux mois, souffre d’une inflammation de la moelle épinière et a perdu l’usage de ses membres, a appris l’AIP mercredi auprès de son oncle, Thomas Kouassi, un natif d’Attiégouakro (Yamoussoukro).
Selon l’oncle, les examens attestent bel et bien le viol. La victime, en moyenne session de maternelle à Bongouanou, est internée au CHU de Cocody (Abidjan), depuis le 29 novembre pour une meilleure prise en charge.
Thomas Kouassi a confié qu’en dépit de sa prise en charge par le ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité pour certains examens (EMG, Scanner dorso-lombo sacrée, et IRM) et les médicaments, le cas de l’enfant reste encore critique après plus d’un mois de traitement.
«Et contre toute attente, l’hôpital a libéré le malade qui ne se porte pas bien, prétextant un risque d’infection. On nous demande de venir uniquement les jours de rendez-vous pour les séances de kinésithérapie », a déclaré le père de la victime. Kouaasi Kouadio Anselme, lui-même infirmier, dit ne pas comprendre l’attitude des médecins traitants.
En attendant le rapport médical final, le père se dit très inquiet de l’état de santé de sa fillette qui semble ne pas connaître une amélioration. Une enquête a été ouverte par la police pour retrouver l’auteur du crime.
nam/akn/cmas
Selon l’oncle, les examens attestent bel et bien le viol. La victime, en moyenne session de maternelle à Bongouanou, est internée au CHU de Cocody (Abidjan), depuis le 29 novembre pour une meilleure prise en charge.
Thomas Kouassi a confié qu’en dépit de sa prise en charge par le ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité pour certains examens (EMG, Scanner dorso-lombo sacrée, et IRM) et les médicaments, le cas de l’enfant reste encore critique après plus d’un mois de traitement.
«Et contre toute attente, l’hôpital a libéré le malade qui ne se porte pas bien, prétextant un risque d’infection. On nous demande de venir uniquement les jours de rendez-vous pour les séances de kinésithérapie », a déclaré le père de la victime. Kouaasi Kouadio Anselme, lui-même infirmier, dit ne pas comprendre l’attitude des médecins traitants.
En attendant le rapport médical final, le père se dit très inquiet de l’état de santé de sa fillette qui semble ne pas connaître une amélioration. Une enquête a été ouverte par la police pour retrouver l’auteur du crime.
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