Grand-Bassam - Le président du comité de restructuration de l’Alliance des pays producteurs de cacao (COPAL), Ali Touré, a annoncé, mercredi, en marge de la 57ème assemblée annuelle du café africain tenue à Grand-Bassam, une restructuration de l’alliance pour une économie cacaoyère durable en Afrique après le retrait des pays d’Asie.
"Le comité de restructuration a été mis sur pied depuis mars 2015 pour revoir les objectifs et missions, le fonctionnement et de faire des propositions pour une organisation plus dynamique pour l'avènement d'une économie cacaoyère durable en Afrique", a déclaré le président Touré Ali, avant d'ajouter : "aujourd'hui, nous avons la synthèse de nos travaux que nous devons remettre au ministre de Commerce, Souleymane Diarassouba, pour analyse et validation."
Créée le 20 janvier 1962, la COPAL a pour objectif de défendre, sur le marché international, les intérêts des pays membres que sont la Côte d’Ivoire, le Togo, le Cameroun, le Gabon, le Nigeria et le Ghana. Selon Aly Touré, ces pays font 75% de la production mondiale du cacao.
L’organisation intergouvernementale qui regroupait au départ 11 pays producteurs du cacao, s'est vu effriter au fil du temps à cause de son mauvais fonctionnement et surtout aux systèmes de quota.
"Nous devons relever ce défi africain pour faire entendre une seule voix et peser sur le marché international", a conclu le président du comité.
Ko/kp
"Le comité de restructuration a été mis sur pied depuis mars 2015 pour revoir les objectifs et missions, le fonctionnement et de faire des propositions pour une organisation plus dynamique pour l'avènement d'une économie cacaoyère durable en Afrique", a déclaré le président Touré Ali, avant d'ajouter : "aujourd'hui, nous avons la synthèse de nos travaux que nous devons remettre au ministre de Commerce, Souleymane Diarassouba, pour analyse et validation."
Créée le 20 janvier 1962, la COPAL a pour objectif de défendre, sur le marché international, les intérêts des pays membres que sont la Côte d’Ivoire, le Togo, le Cameroun, le Gabon, le Nigeria et le Ghana. Selon Aly Touré, ces pays font 75% de la production mondiale du cacao.
L’organisation intergouvernementale qui regroupait au départ 11 pays producteurs du cacao, s'est vu effriter au fil du temps à cause de son mauvais fonctionnement et surtout aux systèmes de quota.
"Nous devons relever ce défi africain pour faire entendre une seule voix et peser sur le marché international", a conclu le président du comité.
Ko/kp