Bondoukou – La présidente de l’Ong Protection femmes et enfants en détresse (PFED), Koffi Aimée a plaidé, vendredi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) pour l’application stricte des lois condamnant les violences faites aux femmes et aux jeunes filles, à l’occasion de la présentation des résultats de la campagne de communication intensive sur ce fléau.
Cette campagne dénommée « Unissons-nous et disons non aux violences faites aux femmes et aux filles » vise à amener la société ivoirienne à un changement de comportement à l’égard de la femme, cible première de violence.
Elle (campagne) est réalisée avec le soutien de l’Ong « Internews », à travers une initiative, « Voice up ! », financée par le Programme Human rights for all, de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), à hauteur de deux millions de francs CFA.
« Nous lançons un plaidoyer auprès des autorités ivoiriennes pour une stricte application des textes de lois en vigueur lorsqu’une femme ou une fille est victime de viol », a fait savoir Koffi Aimée.
Elle a indiqué que la PFED ne peut rester indifférente face à ces actes criminels perpétrés contre la gente féminine conformément à la mission des Ong qui est de contribuer au développement économique, social et culturel de la Côte d’Ivoire comme le confère l’article 26 de la Constitution.
Mme Kofffi a fait savoir que huit témoignages ont été diffusés sur les réseaux sociaux dont six victimes de viol et deux rechapées d’excision afin d’interpeler et de toucher la sensibilité de la société sur les violences faites aux femmes et aux jeunes filles.
Créée en 2012, la PFED a pour objectif de promouvoir les droits de l’homme, la santé, l’hygiène et la protection de l’environnement et réduire la pauvreté des femmes par la création des activités génératrices de revenus.
(AIP)
zaar/fmo
Cette campagne dénommée « Unissons-nous et disons non aux violences faites aux femmes et aux filles » vise à amener la société ivoirienne à un changement de comportement à l’égard de la femme, cible première de violence.
Elle (campagne) est réalisée avec le soutien de l’Ong « Internews », à travers une initiative, « Voice up ! », financée par le Programme Human rights for all, de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), à hauteur de deux millions de francs CFA.
« Nous lançons un plaidoyer auprès des autorités ivoiriennes pour une stricte application des textes de lois en vigueur lorsqu’une femme ou une fille est victime de viol », a fait savoir Koffi Aimée.
Elle a indiqué que la PFED ne peut rester indifférente face à ces actes criminels perpétrés contre la gente féminine conformément à la mission des Ong qui est de contribuer au développement économique, social et culturel de la Côte d’Ivoire comme le confère l’article 26 de la Constitution.
Mme Kofffi a fait savoir que huit témoignages ont été diffusés sur les réseaux sociaux dont six victimes de viol et deux rechapées d’excision afin d’interpeler et de toucher la sensibilité de la société sur les violences faites aux femmes et aux jeunes filles.
Créée en 2012, la PFED a pour objectif de promouvoir les droits de l’homme, la santé, l’hygiène et la protection de l’environnement et réduire la pauvreté des femmes par la création des activités génératrices de revenus.
(AIP)
zaar/fmo