Abidjan - Le président du conseil d’administration du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Mamadou Bamba, a procédé jeudi, à Abidjan, au lancement de la campagne 2018 de commercialisation de la noix de cajou, en souhaitant une excellente campagne à l’ensemble des acteurs.
« La campagne 2018 s’annonce sous de bons auspices parce que concernant les conditions de déroulement, je puis affirmer que les indicateurs permettent d’espérer une bonne campagne 2018 de commercialisation de noix de cajou », a déclaré le président du conseil d’administration du conseil du coton et de l’anacarde, Mamadou Bamba, expliquant que « les facteurs climatiques sont favorables ainsi que les prix de la noix de cajou qui connaissent une tendance haussière au niveau international ».
Le PCA a indiqué que « le prix plancher obligatoire magasin intérieur a été fixé à 525 FCFA/kg et à 584 FCFA pour les magasins portuaires. Quant au prix bord champ, il est de 500 FCFA/kg de noix bien séchées, bien triées, exemptes de matières étrangères », tout en précisant que « le prix bord champ est un prix plancher minimum en dessous duquel aucune transaction commerciale n’est autorisée ».
Rappelant que la campagne passée de commercialisation de la noix de cajou a été la quatrième année de la mise en œuvre de la réforme de la filière anacarde adoptée par le Gouvernement ivoirien dans le but d’améliorer durablement le revenu du producteur à travers un prix bord champ rémunérateur, le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama Coulibaly a souligné qu’ « en 2017, la Côte d’Ivoire a produit 711 236 tonnes de noix brute sur une prévision de 715 000 tonnes ».
« Pour 2018, il est prévu une production d’environ 750 000 T », a-t-il annoncé, avant d’exhorter les acteurs de la filière anacarde à ne pas aller vendre les noix de cajou dans les pays frontaliers parce que tout contrevenant s’expose à de sanctions pouvant aller jusqu’au retrait de son agrément.
La Côte d’Ivoire occupe le premier rang mondial de producteur de la noix de cajou depuis 2016, a-t-on appris.
tg/fmo
« La campagne 2018 s’annonce sous de bons auspices parce que concernant les conditions de déroulement, je puis affirmer que les indicateurs permettent d’espérer une bonne campagne 2018 de commercialisation de noix de cajou », a déclaré le président du conseil d’administration du conseil du coton et de l’anacarde, Mamadou Bamba, expliquant que « les facteurs climatiques sont favorables ainsi que les prix de la noix de cajou qui connaissent une tendance haussière au niveau international ».
Le PCA a indiqué que « le prix plancher obligatoire magasin intérieur a été fixé à 525 FCFA/kg et à 584 FCFA pour les magasins portuaires. Quant au prix bord champ, il est de 500 FCFA/kg de noix bien séchées, bien triées, exemptes de matières étrangères », tout en précisant que « le prix bord champ est un prix plancher minimum en dessous duquel aucune transaction commerciale n’est autorisée ».
Rappelant que la campagne passée de commercialisation de la noix de cajou a été la quatrième année de la mise en œuvre de la réforme de la filière anacarde adoptée par le Gouvernement ivoirien dans le but d’améliorer durablement le revenu du producteur à travers un prix bord champ rémunérateur, le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama Coulibaly a souligné qu’ « en 2017, la Côte d’Ivoire a produit 711 236 tonnes de noix brute sur une prévision de 715 000 tonnes ».
« Pour 2018, il est prévu une production d’environ 750 000 T », a-t-il annoncé, avant d’exhorter les acteurs de la filière anacarde à ne pas aller vendre les noix de cajou dans les pays frontaliers parce que tout contrevenant s’expose à de sanctions pouvant aller jusqu’au retrait de son agrément.
La Côte d’Ivoire occupe le premier rang mondial de producteur de la noix de cajou depuis 2016, a-t-on appris.
tg/fmo