Dimbokro- La brigade antidrogue a saisi 296 boulettes de cannabis, soit deux kilogrammes et d'importante quantité de comprimés prohibés, lors d'une patrouille qu'elle effectuait dans la localité située à une vingtaine de kilomètres de Bocanda.
Ces boules de drogues et de médicaments prohibées ont été découverts sur dame Sawadogo Makoya, se disant commerçante née, il y a 31 ans à Bouaflé.
Selon les témoins, fin décembre, l'attention des éléments de la brigade antidrogue, en patrouille dans le village d'Assika Kayabo, est attirée par l'attitude suspecte d'une femme qui, à leur vue, veut fuir. Interpellée et acculée de questions, la dame avoue se débrouiller dans le commerce de comprimés dans les villages du département de Bocanda. Il s'en suit alors une fouille minutieuse, permettant la découverte de nombreuses boules de cannabis et de produits pharmaceutiques non enregistrés en Côte d'Ivoire.
Arrêtée pour détention illégale de drogue, Makoya est transférée devant le juge de la section du tribunal de Dimbokro où elle va incessamment répondre de ses actes. En attendant, la commerçante a élu domicile dans une des nombreuses cellules de la Maison d’arrêt et de correction de Dimbokro aux côtés de prisonniers de renom dont Amadé Ourémi.
ik/fmo
Ces boules de drogues et de médicaments prohibées ont été découverts sur dame Sawadogo Makoya, se disant commerçante née, il y a 31 ans à Bouaflé.
Selon les témoins, fin décembre, l'attention des éléments de la brigade antidrogue, en patrouille dans le village d'Assika Kayabo, est attirée par l'attitude suspecte d'une femme qui, à leur vue, veut fuir. Interpellée et acculée de questions, la dame avoue se débrouiller dans le commerce de comprimés dans les villages du département de Bocanda. Il s'en suit alors une fouille minutieuse, permettant la découverte de nombreuses boules de cannabis et de produits pharmaceutiques non enregistrés en Côte d'Ivoire.
Arrêtée pour détention illégale de drogue, Makoya est transférée devant le juge de la section du tribunal de Dimbokro où elle va incessamment répondre de ses actes. En attendant, la commerçante a élu domicile dans une des nombreuses cellules de la Maison d’arrêt et de correction de Dimbokro aux côtés de prisonniers de renom dont Amadé Ourémi.
ik/fmo