Le présumé agresseur d’un policier ivoirien a été mis aux arrêts à Abobo, une commune populaire au Nord d’Abidjan avec en sa possession, l’arme, la carte professionnelle et le téléphone portable de sa victime, a annoncé lundi, la police nationale ivoirienne dans une note d’information.
« Le réseau de renseignements du commissaire de police Zokou Josué du 32è arrondissement et ses collaborateurs, a permis de mettre la main sur le malfrat O. Souleymane auteur d’une agression sur un policier dans la nuit du 17 au 18 février aux environs de 23h dans son quartier à Abobo N’Dotré Sotrapim», indique la note soulignant que le présumé agresseur avait encore en sa possession, l’arme du policier, sa carte professionnelle et son téléphone portable.
Les agressions envers les forces de défense et de sécurité sont légions ces derniers temps. Samedi, rappelle-t-on, un gendarme ivoirien, accusé d’avoir causé la mort d’un jeune motocycliste lors d’un contrôle routier à Bloléquin dans l’ouest ivoirien, a été lynché et battu à mort par une foule en colère.
Les populations ont par la suite saccagé et incendié les locaux de la gendarmerie et les domiciles des autorités préfectorales de ladite localité.
LB/ls/APA
« Le réseau de renseignements du commissaire de police Zokou Josué du 32è arrondissement et ses collaborateurs, a permis de mettre la main sur le malfrat O. Souleymane auteur d’une agression sur un policier dans la nuit du 17 au 18 février aux environs de 23h dans son quartier à Abobo N’Dotré Sotrapim», indique la note soulignant que le présumé agresseur avait encore en sa possession, l’arme du policier, sa carte professionnelle et son téléphone portable.
Les agressions envers les forces de défense et de sécurité sont légions ces derniers temps. Samedi, rappelle-t-on, un gendarme ivoirien, accusé d’avoir causé la mort d’un jeune motocycliste lors d’un contrôle routier à Bloléquin dans l’ouest ivoirien, a été lynché et battu à mort par une foule en colère.
Les populations ont par la suite saccagé et incendié les locaux de la gendarmerie et les domiciles des autorités préfectorales de ladite localité.
LB/ls/APA