Abidjan - La Direction générale de l’emploi (DGE) organise ce vendredi, à la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) d’Abidjan-Plateau, un atelier de restitution des résultats de l’étude sur le fonctionnement des filières commerciales informelles et la promotion de l’emploi décent à partir de l’exemple de la commercialisation du "vivrier marchand" en Côte d’Ivoire.
L’objectif de cet atelier qui se tiendra sous l’égide du ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, vise à partager les conclusions les plus pertinentes de l’étude avec les acteurs et toutes les parties prenantes. Il s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’éradiquer la pauvreté, telle qu’envisagée par les Objectifs de développement durable (ODD).
Spécifiquement, il s’agira d’imprégner les acteurs concernés des principaux résultats de l’étude, de définir une feuille de route et une stratégie de formalisation, de recueillir les propositions et recommandations des acteurs pour une meilleure formalisation de la commercialisation du vivrier marchand et enfin, de recueillir les propositions des acteurs pour renforcer le respect des principes et droits fondamentaux au travail dans les filières de commercialisation du vivrier
La Côte d’Ivoire, dont l’économie repose sur l’agriculture, est fortement influencée par la commercialisation des productions agricoles notamment celles des récoltes vivrières en plein dynamisme. L’essor du "vivrier marchand" est en grande partie du fait de la restructuration des acteurs constitués majoritairement de femmes.
Les commerçantes ivoiriennes ont mutualisé leurs moyens et leurs initiatives à travers la constitution de coopératives d’achat et de vente à travers la Fédération Nationale des Sociétés Coopératives de Vivrier de Côte d’Ivoire (FENASCOVI-CI) qui compte à elle seule plus de 1800 coopératives membres sur toute l’étendue du territoire ivoirien. D’autres structures faîtières (CNVACI, UNICOVIA, COCOVICO) comptent elles aussi plusieurs dizaines de coopératives au sein de leur union.
Nonobstant les efforts et des opportunités qu’offre le secteur, la production et la commercialisation du vivrier restent confrontées à plusieurs difficultés que l’Etat ivoirien et les principaux bailleurs s’emploient à résoudre à travers la mise en œuvre de plusieurs programmes d’appui à la production vivrière et à la sécurité alimentaire pour moderniser ces filières, promouvoir l’agro-transformation des produits locaux et susciter l’amélioration des conditions de travail et de vie de l’ensemble des acteurs/actrices qui y évoluent.
akn/fmo
L’objectif de cet atelier qui se tiendra sous l’égide du ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, vise à partager les conclusions les plus pertinentes de l’étude avec les acteurs et toutes les parties prenantes. Il s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’éradiquer la pauvreté, telle qu’envisagée par les Objectifs de développement durable (ODD).
Spécifiquement, il s’agira d’imprégner les acteurs concernés des principaux résultats de l’étude, de définir une feuille de route et une stratégie de formalisation, de recueillir les propositions et recommandations des acteurs pour une meilleure formalisation de la commercialisation du vivrier marchand et enfin, de recueillir les propositions des acteurs pour renforcer le respect des principes et droits fondamentaux au travail dans les filières de commercialisation du vivrier
La Côte d’Ivoire, dont l’économie repose sur l’agriculture, est fortement influencée par la commercialisation des productions agricoles notamment celles des récoltes vivrières en plein dynamisme. L’essor du "vivrier marchand" est en grande partie du fait de la restructuration des acteurs constitués majoritairement de femmes.
Les commerçantes ivoiriennes ont mutualisé leurs moyens et leurs initiatives à travers la constitution de coopératives d’achat et de vente à travers la Fédération Nationale des Sociétés Coopératives de Vivrier de Côte d’Ivoire (FENASCOVI-CI) qui compte à elle seule plus de 1800 coopératives membres sur toute l’étendue du territoire ivoirien. D’autres structures faîtières (CNVACI, UNICOVIA, COCOVICO) comptent elles aussi plusieurs dizaines de coopératives au sein de leur union.
Nonobstant les efforts et des opportunités qu’offre le secteur, la production et la commercialisation du vivrier restent confrontées à plusieurs difficultés que l’Etat ivoirien et les principaux bailleurs s’emploient à résoudre à travers la mise en œuvre de plusieurs programmes d’appui à la production vivrière et à la sécurité alimentaire pour moderniser ces filières, promouvoir l’agro-transformation des produits locaux et susciter l’amélioration des conditions de travail et de vie de l’ensemble des acteurs/actrices qui y évoluent.
akn/fmo