Bouaké - Les délégués du haut conseil du patronat des entreprises de transport routier et leurs collaborateurs de Gbêkê et Hambol ont pris part à un séminaire de renforcement de capacités, mardi, à Bouaké, pour être imprégnés de leur mission afin de mieux appliquer le plan d’actions de la hiérarchie.
Assurée par l’expert formateur du projet d’assistance technique du ministère des Transports, Remy Bloch, la formation qui s’inscrit elle-même dans ledit plan d’actions, contribuera à l’enracinement du haut conseil des entreprises de transport routier à travers ses délégations départementales.
M. Remy Bloch a insisté sur le rôle des délégués régionaux et passé en revue le plan d’actions dont s’est doté l’instance suprême des chefs d’entreprise de transport routier. Il s’agit notamment de la concertation avec l’Etat, l’organisation du marché à travers la lutte contre les pratiques déloyales, la facilitation de l’accès des transporteurs aux marchés des services et fournitures, l’assistance aux adhérents, la formation et le conseil, l’information et la sensibilisation.
En tant qu’artisans de la mise en œuvre de ces actions sur le terrain, note-t-il, les délégués régionaux doivent agir «dans un esprit de transparence, d’efficacité et de bonne gouvernance.»
Le chef du département administration et transport du haut conseil du patronat des entreprises de transport routier, Samaké Salif, a indiqué que depuis plusieurs années, cette structure fait de la formation son cheval de bataille parce qu’elle veut avoir des opérateurs économiques avec une nouvelle mentalité, capables d’assurer la mission de transporter dans des conditions de sécurité et de confort les marchandises et les personnes pour participer au développement du pays.
«Nous pensons que nous sommes à mi-chemin et nous sommes en train d’atteindre les résultats», estime-t-il.
Exerçant dans le secteur du transport terrestre depuis 1956, le délégué régional du Gbêke et du Hambol, Sylla Bangali, se réjouit de l’initiative qu’il considère comme un grande première qui profitera beaucoup plus aux générations futures.
Il estime que la formation contribuera à la réussite d’une innovation majeure à savoir, l’opération du ticket unique, une contribution volontaire instaurée par le haut conseil du patronat pour constituer un fonds de soutien. Ces ressources permettront d’avoir une certaine autonomie financièrement pour mettre en œuvre l’ensemble du plan d’actions.
(AIP)
nbf/akn/fmo
Assurée par l’expert formateur du projet d’assistance technique du ministère des Transports, Remy Bloch, la formation qui s’inscrit elle-même dans ledit plan d’actions, contribuera à l’enracinement du haut conseil des entreprises de transport routier à travers ses délégations départementales.
M. Remy Bloch a insisté sur le rôle des délégués régionaux et passé en revue le plan d’actions dont s’est doté l’instance suprême des chefs d’entreprise de transport routier. Il s’agit notamment de la concertation avec l’Etat, l’organisation du marché à travers la lutte contre les pratiques déloyales, la facilitation de l’accès des transporteurs aux marchés des services et fournitures, l’assistance aux adhérents, la formation et le conseil, l’information et la sensibilisation.
En tant qu’artisans de la mise en œuvre de ces actions sur le terrain, note-t-il, les délégués régionaux doivent agir «dans un esprit de transparence, d’efficacité et de bonne gouvernance.»
Le chef du département administration et transport du haut conseil du patronat des entreprises de transport routier, Samaké Salif, a indiqué que depuis plusieurs années, cette structure fait de la formation son cheval de bataille parce qu’elle veut avoir des opérateurs économiques avec une nouvelle mentalité, capables d’assurer la mission de transporter dans des conditions de sécurité et de confort les marchandises et les personnes pour participer au développement du pays.
«Nous pensons que nous sommes à mi-chemin et nous sommes en train d’atteindre les résultats», estime-t-il.
Exerçant dans le secteur du transport terrestre depuis 1956, le délégué régional du Gbêke et du Hambol, Sylla Bangali, se réjouit de l’initiative qu’il considère comme un grande première qui profitera beaucoup plus aux générations futures.
Il estime que la formation contribuera à la réussite d’une innovation majeure à savoir, l’opération du ticket unique, une contribution volontaire instaurée par le haut conseil du patronat pour constituer un fonds de soutien. Ces ressources permettront d’avoir une certaine autonomie financièrement pour mettre en œuvre l’ensemble du plan d’actions.
(AIP)
nbf/akn/fmo