L’Afrique toute entière et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en particulier, vient de perdre l’un de ses plus grands cinéastes. En effet, les lumières viennent de s’éteindre à jamais sur Idrissa OUEDRAOGO, cinéaste de nationalité burkinabé, rappelé à Dieu le dimanche 18 février 2018 à Ouagadougou à l’âge de 64 ans.
Diplômé de l’Institut africain d’études cinématographiques de Ouagadougou d’où il sortit major, Idrissa OUEDRAOGO s’est forgé un professionnalisme et une carrière soutenus, en complétant des études à l’Institut des Hautes Etudes cinématographiques de Paris, à l’Université de la Sorbonne (Paris 1), et à l’Institut fédéral d’État du cinéma de Moscou.
Figure emblématique du 7ème art africain, ce prestigieux réalisateur et producteur qui aura marqué les grands festivals du monde, laisse derrière lui une quarantaine d’œuvres dont une dizaine de longs métrages. De son vivant, le baobab du cinéma burkinabé affectueusement appelé le « Maestro », a remporté une trentaine de prix à travers le monde, dont les plus prestigieux obtenus avec son film « Tilaï », sont le Grand Prix du Festival de Cannes en 1990 et l’Etalon de Yennega en 1991 au FESPACO.
Le Président de la Commission de la CEDEAO rend un hommage mérité à Idrissa OUEDRAOGO dont la jeune génération avait encore besoin de sa riche expérience.
La CEDEAO par la voix du Président de la Commission, présente les condoléances de la Communauté au peuple burkinabé, à la famille et aux proches de l’illustre disparu, aux acteurs de l’industrie du cinéma, et à la Fédération panafricaine des cinéastes (FEPACI).
Que l’âme de l’illustre disparu repose en paix !
La CEDEAO
Diplômé de l’Institut africain d’études cinématographiques de Ouagadougou d’où il sortit major, Idrissa OUEDRAOGO s’est forgé un professionnalisme et une carrière soutenus, en complétant des études à l’Institut des Hautes Etudes cinématographiques de Paris, à l’Université de la Sorbonne (Paris 1), et à l’Institut fédéral d’État du cinéma de Moscou.
Figure emblématique du 7ème art africain, ce prestigieux réalisateur et producteur qui aura marqué les grands festivals du monde, laisse derrière lui une quarantaine d’œuvres dont une dizaine de longs métrages. De son vivant, le baobab du cinéma burkinabé affectueusement appelé le « Maestro », a remporté une trentaine de prix à travers le monde, dont les plus prestigieux obtenus avec son film « Tilaï », sont le Grand Prix du Festival de Cannes en 1990 et l’Etalon de Yennega en 1991 au FESPACO.
Le Président de la Commission de la CEDEAO rend un hommage mérité à Idrissa OUEDRAOGO dont la jeune génération avait encore besoin de sa riche expérience.
La CEDEAO par la voix du Président de la Commission, présente les condoléances de la Communauté au peuple burkinabé, à la famille et aux proches de l’illustre disparu, aux acteurs de l’industrie du cinéma, et à la Fédération panafricaine des cinéastes (FEPACI).
Que l’âme de l’illustre disparu repose en paix !
La CEDEAO