Odienné - La campagne de l’anacarde, lancée le 14 février, demeure timide à Odienné où plusieurs magasins sont toujours fermés et aucun chargement de noix de cajou sorti de la ville vers les ports, a constaté sur place l’AIP.
Quelques petits acheteurs avec des bascules sont visibles sur les axes routiers. Selon Koné Bakary, installé sur la route Odienné-Dioulatiédougou, le produit ne sort pas en grande quantité. Seulement des quantités de 20kg à 50 kg sont achetées par jour dans la zone, a-t-il ajouté.
Plusieurs acheteurs disent attendre les documents d’achat de la production locale. "Pour acheter, il faut les carnets d’achat et la sacherie. Certains ont reçu leur dotation, mais plusieurs d’entre nous attendent toujours", a affirmé Konaté Issouf, pisteur à Odienné.
Pour la campagne de 2018, le prix du kilogramme de noix de cajou bord champ est fixé à 500 FCFA contre 425 FCFA la campagne précédente.
Le défi majeur reste la lutte contre la fuite des produits vers les pays limitrophes, redoutent les acteurs de la filière.
(AIP)
SS/kp
Quelques petits acheteurs avec des bascules sont visibles sur les axes routiers. Selon Koné Bakary, installé sur la route Odienné-Dioulatiédougou, le produit ne sort pas en grande quantité. Seulement des quantités de 20kg à 50 kg sont achetées par jour dans la zone, a-t-il ajouté.
Plusieurs acheteurs disent attendre les documents d’achat de la production locale. "Pour acheter, il faut les carnets d’achat et la sacherie. Certains ont reçu leur dotation, mais plusieurs d’entre nous attendent toujours", a affirmé Konaté Issouf, pisteur à Odienné.
Pour la campagne de 2018, le prix du kilogramme de noix de cajou bord champ est fixé à 500 FCFA contre 425 FCFA la campagne précédente.
Le défi majeur reste la lutte contre la fuite des produits vers les pays limitrophes, redoutent les acteurs de la filière.
(AIP)
SS/kp