Paris (France) – La participation du Conseil du coton et de l’anacarde au 55ème Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2018) est centrée sur la présentation des opportunités d’investissements dans les deux filières.
Cet engagement est matérialisé par l’exposition traditionnelle des produits et dérivés du coton et de l’anacarde ainsi que l’aménagement d’espace dédié aux PME de transformation.
Il s’agira de présenter des fiches-projets sur la création des unités de transformation à l’intention des potentiels investisseurs, de présenter les mesures incitatives complémentaires au Code des investissements concernant la filière anacarde.
En ce qui concerne la filière coton, l’organe de régulation compte rechercher des investisseurs pour la création de nouvelles unités d’égrenage dans le Gontougo (Nord-Est), une région autrefois productrice de coton, et dans la région du Bafing (Nord-Ouest) qui sont des zones de développement non encore attribuées à des opérateurs.
Le Conseil du coton et de l’anacarde va aussi promouvoir la 2ème et la 3ème transformation, susciter la création de nouvelles unités de filature-tissage car la capacité installée est de 20 000 tonnes de fibre alors que la production nationale de fibres de coton oscille entre 150 et 170 000 T, l’essentiel de la production de fibre étant exporté à l’état brut.
En outre, au niveau de la trituration de la graine de coton, l’huile de coton étant méconnue des consommateurs en dépit de ses vertus, le Conseil du coton et de l’anacarde s’engage pour sa promotion.
Cet organe profite de la plateforme offerte par le SIA pour faire également la promotion de la 3ème édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA 2018) prévue du 8 au 10 novembre à Abidjan.
L’objectif est de susciter de nouvelles adhésions de pays à cette plateforme de coopération internationale sur le cajou.
Une activité non moins importante au SIA est l’exposition des produits et dérivés du coton et de l’anacarde appuyée par des documentations publicitaires. Le Conseil du coton et de l’anacarde est dirigé par Dr Adama Coulibaly.
cmas
Cet engagement est matérialisé par l’exposition traditionnelle des produits et dérivés du coton et de l’anacarde ainsi que l’aménagement d’espace dédié aux PME de transformation.
Il s’agira de présenter des fiches-projets sur la création des unités de transformation à l’intention des potentiels investisseurs, de présenter les mesures incitatives complémentaires au Code des investissements concernant la filière anacarde.
En ce qui concerne la filière coton, l’organe de régulation compte rechercher des investisseurs pour la création de nouvelles unités d’égrenage dans le Gontougo (Nord-Est), une région autrefois productrice de coton, et dans la région du Bafing (Nord-Ouest) qui sont des zones de développement non encore attribuées à des opérateurs.
Le Conseil du coton et de l’anacarde va aussi promouvoir la 2ème et la 3ème transformation, susciter la création de nouvelles unités de filature-tissage car la capacité installée est de 20 000 tonnes de fibre alors que la production nationale de fibres de coton oscille entre 150 et 170 000 T, l’essentiel de la production de fibre étant exporté à l’état brut.
En outre, au niveau de la trituration de la graine de coton, l’huile de coton étant méconnue des consommateurs en dépit de ses vertus, le Conseil du coton et de l’anacarde s’engage pour sa promotion.
Cet organe profite de la plateforme offerte par le SIA pour faire également la promotion de la 3ème édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA 2018) prévue du 8 au 10 novembre à Abidjan.
L’objectif est de susciter de nouvelles adhésions de pays à cette plateforme de coopération internationale sur le cajou.
Une activité non moins importante au SIA est l’exposition des produits et dérivés du coton et de l’anacarde appuyée par des documentations publicitaires. Le Conseil du coton et de l’anacarde est dirigé par Dr Adama Coulibaly.
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