Divo – Le système de crédit-bail comme astuce pour améliorer la gestion des sociétés coopératives a été enseigné à des dirigeants de cinq coopératives dans le cadre de la dernière session de formation à leur endroit à Divo.
Organisée par la structure technoserve et ses bailleurs Cémoi et le conseil du café-cacao, la formation qui fait suite à un diagnostic sur les forces et faiblesses des sociétés coopératives vise à améliorer leurs performances et améliorer le quotidien des membres.
« Le crédit-bail répond à une préoccupation de l’accès aux financements que rencontrent les sociétés coopératives. C’est un outil de financement de leurs activités », a indiqué Diby Félicien du conseil du café-cacao.
L’objectif in fine est qu’en début de campagne, les sociétés coopératives réussissent à se défaire quelque peu de leurs partenaires commerciaux pour s’adresser à des institutions dont le rôle est de financer l’économie.
« Les coopératives attendent, en général, un financement d’un partenaire commercial, un exportateur pour ouvrir la campagne. Si tu dois compter sur un financement extérieur, c’est avec beaucoup de stress et d’angoisse que tu commences la campagne », a expliqué M.Diby.
La formation a consisté donc à éveiller l’esprit des dirigeants de ces sociétés coopératives sur les possibilités d’indépendance.
« Ils nous ont enseigné comment nous pouvons nous-mêmes nous prendre en charge et ne pas toujours tout attendre de l’extérieur. Nous avons entre autres appris à diversifier nos activités. En même temps que nous faisons le cacao, nous faisons de l’hévéa. Et nous avons créé des plantations de manioc pour nos femmes », souligne le président du conseil d'administration (PCA) de la coopérative Tui de San Pedro, Yao Kouakou.
Depuis plusieurs mois, technoserve et ses partenaires notamment le chocolatier Cémoi et le conseil du café-cacao forment les acteurs du cacao dans le cadre d’un programme dénommée transparence cacao. Ce programme vise à soutenir les coopératives sur le chemin de la professionnalisation, indique-t-on.
gso/fmo
Organisée par la structure technoserve et ses bailleurs Cémoi et le conseil du café-cacao, la formation qui fait suite à un diagnostic sur les forces et faiblesses des sociétés coopératives vise à améliorer leurs performances et améliorer le quotidien des membres.
« Le crédit-bail répond à une préoccupation de l’accès aux financements que rencontrent les sociétés coopératives. C’est un outil de financement de leurs activités », a indiqué Diby Félicien du conseil du café-cacao.
L’objectif in fine est qu’en début de campagne, les sociétés coopératives réussissent à se défaire quelque peu de leurs partenaires commerciaux pour s’adresser à des institutions dont le rôle est de financer l’économie.
« Les coopératives attendent, en général, un financement d’un partenaire commercial, un exportateur pour ouvrir la campagne. Si tu dois compter sur un financement extérieur, c’est avec beaucoup de stress et d’angoisse que tu commences la campagne », a expliqué M.Diby.
La formation a consisté donc à éveiller l’esprit des dirigeants de ces sociétés coopératives sur les possibilités d’indépendance.
« Ils nous ont enseigné comment nous pouvons nous-mêmes nous prendre en charge et ne pas toujours tout attendre de l’extérieur. Nous avons entre autres appris à diversifier nos activités. En même temps que nous faisons le cacao, nous faisons de l’hévéa. Et nous avons créé des plantations de manioc pour nos femmes », souligne le président du conseil d'administration (PCA) de la coopérative Tui de San Pedro, Yao Kouakou.
Depuis plusieurs mois, technoserve et ses partenaires notamment le chocolatier Cémoi et le conseil du café-cacao forment les acteurs du cacao dans le cadre d’un programme dénommée transparence cacao. Ce programme vise à soutenir les coopératives sur le chemin de la professionnalisation, indique-t-on.
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