Paris (France)– Le directeur général du Centre national de recherche agronomique (CNRA), Dr Yté Wongbé, soutient qu’en Côte d’Ivoire, les chercheurs trouvent effectivement des résultats probants pour le développement de l’agriculture.
Interrogé mardi par l’AIP en marge du 55ème Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2018), le DG du CNRA a souligné que si la Côte d’Ivoire respire, vit à partir du cacao, c’est parce qu’il y a le ‘’cacao Mercedes’’, le fruit du CNRA.
« Nous parlons de la cola, c’est le fruit du CNRA, aujourd’hui on parle de café ‘’Emergence’’, c’est le fruit des efforts des chercheurs du CNRA. Donc, même en matière de sécurité alimentaire, le manioc ‘’Bocou’’ dont on parle tant aujourd’hui, c’est le CNRA et tout ça, c’est des choses qui ont été mises au point par nos chercheurs et dans lesquelles nous sommes en train de travailler », fait observer Dr Yté.
Pour lui, si on parle aussi de l’acajou, c’est parce qu’il y a eu un appui non négligeable des chercheurs du CNRA qui fait que la Côte d’Ivoire est devenue le premier producteur mondial de cette noix.
En outre, concernant le coton, après la crise (politico-militaire, ndlr), toute la chaîne de production de semence était complètement détruite mais il a fallu les chercheurs du CNRA pour remettre cela. « Et aujourd’hui, nous avons le coton qui vit grâce à cela », poursuit-il.
Par ailleurs, au niveau des défis, le DG du CNRA cite notamment le changement climatique. Le Centre travaille actuellement sur un nombre d’innovations technologiques qui doivent permettre à l’agriculteur ivoirien de continuer à produire, avec un accent sur la productivité et la durabilité.
Dr Yté dit être présent au SIA sur invitation du CIRAD pour discuter de comment ils doivent se mettre ensemble pour conduire la recherche agronomique aussi bien en Côte d’Ivoire mais en relation avec tous les laboratoires du CIRAD en France.
Les deux centres ont signé un accord-cadre pour lequel ils sont en train de conduire un certain nombre de programmes du Contrat de désendettement et de développement (C2D) en Côte d’Ivoire, en matière de recherche notamment sur le ‘’swollen shoot’’, une maladie virale du cacaoyer, sur l’élevage, sur l’aquaculture et sur le coton, a tenu à préciser Dr Yté Wongbé.
cmas
Interrogé mardi par l’AIP en marge du 55ème Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2018), le DG du CNRA a souligné que si la Côte d’Ivoire respire, vit à partir du cacao, c’est parce qu’il y a le ‘’cacao Mercedes’’, le fruit du CNRA.
« Nous parlons de la cola, c’est le fruit du CNRA, aujourd’hui on parle de café ‘’Emergence’’, c’est le fruit des efforts des chercheurs du CNRA. Donc, même en matière de sécurité alimentaire, le manioc ‘’Bocou’’ dont on parle tant aujourd’hui, c’est le CNRA et tout ça, c’est des choses qui ont été mises au point par nos chercheurs et dans lesquelles nous sommes en train de travailler », fait observer Dr Yté.
Pour lui, si on parle aussi de l’acajou, c’est parce qu’il y a eu un appui non négligeable des chercheurs du CNRA qui fait que la Côte d’Ivoire est devenue le premier producteur mondial de cette noix.
En outre, concernant le coton, après la crise (politico-militaire, ndlr), toute la chaîne de production de semence était complètement détruite mais il a fallu les chercheurs du CNRA pour remettre cela. « Et aujourd’hui, nous avons le coton qui vit grâce à cela », poursuit-il.
Par ailleurs, au niveau des défis, le DG du CNRA cite notamment le changement climatique. Le Centre travaille actuellement sur un nombre d’innovations technologiques qui doivent permettre à l’agriculteur ivoirien de continuer à produire, avec un accent sur la productivité et la durabilité.
Dr Yté dit être présent au SIA sur invitation du CIRAD pour discuter de comment ils doivent se mettre ensemble pour conduire la recherche agronomique aussi bien en Côte d’Ivoire mais en relation avec tous les laboratoires du CIRAD en France.
Les deux centres ont signé un accord-cadre pour lequel ils sont en train de conduire un certain nombre de programmes du Contrat de désendettement et de développement (C2D) en Côte d’Ivoire, en matière de recherche notamment sur le ‘’swollen shoot’’, une maladie virale du cacaoyer, sur l’élevage, sur l’aquaculture et sur le coton, a tenu à préciser Dr Yté Wongbé.
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