Depuis l’annonce de la candidature du député de Lakota Abdoulaye Kouyaté à la mairie de Lakota, la tension est vive dans la commune.
Goli Nanebo Paul, chef central de la commune de Lakota, membre du directoire de la chambre des rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire, a diffusé une déclaration dont nous avons reçu copie. Il précise que les chefs de village de Lakota n’ont jamais soutenu la candidature de l’honorable Abdoulaye Kouyaté à la mairie de Lakota, contrairement à certaines allégations. À cause de ces affirmations gratuites, à l’entendre, « des actes de vandalisme, de destruction de lampadaires » ont eu lieu dans la ville, au quartier Ziéga. Sans oublier la destruction des plages d’embellissement en face de la préfecture de Lakota. Le chef des chefs de village de Lakota dénonce aussi des agressions physiques. « Un jeune élève de Dabiri a été poignardé par des inconnus. En ma qualité de chef des chefs de villages de la commune de Lakota et 1er vice-président du collectif des chefs traditionnels du département de Lakota, je tiens à faire les précisions suivantes : le vendredi 23 février dernier, 30 chefs de villages de la sous-préfecture de Lakota sont allés présenter des soi-disant vœux de nouvel an au député Kouyaté à la demande de celui-ci. Le département de Lakota compte 195 chefs de villages et de quartiers. 30 d’entre eux ne peuvent pas parler au nom de tous. Nous refusons de cautionner ces mascarades », a indiqué M. Goli Nanebo dans la déclaration. « Nous demandons au député d’arrêter de manipuler les chefs de village des cantons d’Opareko et de Deboua. Les chefs de villages de Lakota n’ont jamais fait de déclaration de soutien au député. Qu’on arrête de nous diviser. Nous voulons la paix et la Cohésion sociale à Lakota », termine la note. Joint au téléphone, Gnayero Emmanuel, proche de l’honorable Abdoulaye Kouyaté a démenti les faits de vandalisme imputé au député. Tout en réfutant les accusations de M. Nanebo, il a ajouté que ce dernier a plutôt un parti pris dans cette affaire.
EF
Goli Nanebo Paul, chef central de la commune de Lakota, membre du directoire de la chambre des rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire, a diffusé une déclaration dont nous avons reçu copie. Il précise que les chefs de village de Lakota n’ont jamais soutenu la candidature de l’honorable Abdoulaye Kouyaté à la mairie de Lakota, contrairement à certaines allégations. À cause de ces affirmations gratuites, à l’entendre, « des actes de vandalisme, de destruction de lampadaires » ont eu lieu dans la ville, au quartier Ziéga. Sans oublier la destruction des plages d’embellissement en face de la préfecture de Lakota. Le chef des chefs de village de Lakota dénonce aussi des agressions physiques. « Un jeune élève de Dabiri a été poignardé par des inconnus. En ma qualité de chef des chefs de villages de la commune de Lakota et 1er vice-président du collectif des chefs traditionnels du département de Lakota, je tiens à faire les précisions suivantes : le vendredi 23 février dernier, 30 chefs de villages de la sous-préfecture de Lakota sont allés présenter des soi-disant vœux de nouvel an au député Kouyaté à la demande de celui-ci. Le département de Lakota compte 195 chefs de villages et de quartiers. 30 d’entre eux ne peuvent pas parler au nom de tous. Nous refusons de cautionner ces mascarades », a indiqué M. Goli Nanebo dans la déclaration. « Nous demandons au député d’arrêter de manipuler les chefs de village des cantons d’Opareko et de Deboua. Les chefs de villages de Lakota n’ont jamais fait de déclaration de soutien au député. Qu’on arrête de nous diviser. Nous voulons la paix et la Cohésion sociale à Lakota », termine la note. Joint au téléphone, Gnayero Emmanuel, proche de l’honorable Abdoulaye Kouyaté a démenti les faits de vandalisme imputé au député. Tout en réfutant les accusations de M. Nanebo, il a ajouté que ce dernier a plutôt un parti pris dans cette affaire.
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