Une quinzaine de formations politiques de l’opposition en Côte d’Ivoire dont le Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti présidentiel) ont affirmé jeudi avoir essuyé "une fin de non recevoir" du gouvernement qu’ils appelaient à la discussion pour une reforme de la Commission électorale indépendante (CEI), chargée d’organiser les prochaines élections locales.
“A notre offre de dialogue et de concertations pour parvenir à un consensus (…) le gouvernement a répondu par une fin de non-recevoir, par courrier, en date du 26 février 2018 signé par monsieur Jeannot Ahoussou Kouadio, ministre d’Etat, auprès du président de la République, chargé du dialogue politique et des relations avec les institutions’’, ont écrit ces partis politiques dans un communiqué signé par leurs présidents respectifs.
Ces partis estiment que le gouvernement ivoirien “par (son) refus d’exécuter un acte de justice visant à rendre la CEI conforme à sa mission, place l’institution électorale dans une posture illégitime et illégale qui affecte et entache de nullité toutes les élections qu’elle est amenée à organiser’’.
Tout en dénonçant “l’attitude méprisante et belliciste du gouvernement’’, ils appellent à un rassemblement de toute l’opposition pour “empêcher de laisser germer et prospérer les graines du despotisme en Côte d’Ivoire’’.
SKO
“A notre offre de dialogue et de concertations pour parvenir à un consensus (…) le gouvernement a répondu par une fin de non-recevoir, par courrier, en date du 26 février 2018 signé par monsieur Jeannot Ahoussou Kouadio, ministre d’Etat, auprès du président de la République, chargé du dialogue politique et des relations avec les institutions’’, ont écrit ces partis politiques dans un communiqué signé par leurs présidents respectifs.
Ces partis estiment que le gouvernement ivoirien “par (son) refus d’exécuter un acte de justice visant à rendre la CEI conforme à sa mission, place l’institution électorale dans une posture illégitime et illégale qui affecte et entache de nullité toutes les élections qu’elle est amenée à organiser’’.
Tout en dénonçant “l’attitude méprisante et belliciste du gouvernement’’, ils appellent à un rassemblement de toute l’opposition pour “empêcher de laisser germer et prospérer les graines du despotisme en Côte d’Ivoire’’.
SKO