Un atelier de restitution des résultats de l’étude du projet Transform/phare qui vise à l’analyse des besoins, attitudes et comportements des femmes en âge de procréer afin d’améliorer les messages de communications sur la planification familiale en cote d’ivoire s’est tenu ce mardi à Abidjan.
Initié par Population Services International (PSI), le projet Transform/phare bénéficie d’un financement de l’USAID permet d’asseoir une Santé de la Reproduction et de Planification Familiale en Afrique de l’Ouest, notamment en Côte d’Ivoire. La rencontre a permis de faire connaitre l’analyse des besoins attitudes et comportements des femmes en matière de planification familiale.
Marie Batiste représentante de PSI cote d’ivoire a indiqué que "l’étude en question réalisée au-près de femmes a permis de connaitre les barrières qui les empêchent d’accéder aux services de la planification familiale et à partir de ces résultats, créer des programmes pour atteindre ces femmes."
"On agit pas de la même manière sur une jeune fille et sur une femme qui a déjà deux enfants. L’étude a permis de trouver des stratégies spécifiques pour chaque segment de femme. Le planning familial sera donc spécifique à chaque femme" a renchéri Kouamé Antoine, point focal du projet Transform/phare.
Notons que cet atelier avait également pour objectif l’élaboration des messages pouvant permettre de renforcer la demande en produits et services de planification familiale (PF), le soutien actif pour la PF parmi les principales cibles secondaires et améliorer les normes sociales afin de créer un environnement favorable à la PF.
Atapointe
Initié par Population Services International (PSI), le projet Transform/phare bénéficie d’un financement de l’USAID permet d’asseoir une Santé de la Reproduction et de Planification Familiale en Afrique de l’Ouest, notamment en Côte d’Ivoire. La rencontre a permis de faire connaitre l’analyse des besoins attitudes et comportements des femmes en matière de planification familiale.
Marie Batiste représentante de PSI cote d’ivoire a indiqué que "l’étude en question réalisée au-près de femmes a permis de connaitre les barrières qui les empêchent d’accéder aux services de la planification familiale et à partir de ces résultats, créer des programmes pour atteindre ces femmes."
"On agit pas de la même manière sur une jeune fille et sur une femme qui a déjà deux enfants. L’étude a permis de trouver des stratégies spécifiques pour chaque segment de femme. Le planning familial sera donc spécifique à chaque femme" a renchéri Kouamé Antoine, point focal du projet Transform/phare.
Notons que cet atelier avait également pour objectif l’élaboration des messages pouvant permettre de renforcer la demande en produits et services de planification familiale (PF), le soutien actif pour la PF parmi les principales cibles secondaires et améliorer les normes sociales afin de créer un environnement favorable à la PF.
Atapointe