Abidjan – Le Front Populaire Ivoirien (FPI), parti de l’ancien Président Laurent incarcéré à La Haye, « est exclu d’office » des sénatoriales du 24 mars en raison du refus du Gouvernement de réformer la Commission électorale indépendante (CEI) et de la violation de la Constitution, a indiqué jeudi Agnès Monnet, Secrétaire générale du parti, à Le Progrès.
« Nous sommes exclus d’office de ces élections sénatoriales par le régime Ouattara », a indiqué Mme Monnet, dénonçant « une violation de la constitution » à travers l’ordonnance prise pour l’organisation de ce scrutin.
L’autre raison pour laquelle le FPI « ne se sent pas concerné par cette élection », c’est le « refus du gouvernement de réformer l’actuelle CEI, a-t-elle ajouté.
«... suite de l'article sur
« Nous sommes exclus d’office de ces élections sénatoriales par le régime Ouattara », a indiqué Mme Monnet, dénonçant « une violation de la constitution » à travers l’ordonnance prise pour l’organisation de ce scrutin.
L’autre raison pour laquelle le FPI « ne se sent pas concerné par cette élection », c’est le « refus du gouvernement de réformer l’actuelle CEI, a-t-elle ajouté.
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