Abidjan (Côte d’Ivoire) - Des sapeurs-pompiers ivoiriens ont été refoulés samedi soir à Marcory Sans fil, un quartier au Sud d'Abidjan, par des riverains "hostiles" alors qu'ils y étaient pour une intervention sur les lieux d'un incendie qui a ravagé des concessions, a appris APA auprès du groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM).
« Feu à Marcory sans fil. Les secours sont arrivés par le 26è arrondissement de police face à une population hostile qui procède à des jets de pierres. Les secours quittent les lieux, les renforts arrêtés et l'opération annulée », indique le GSPM dans une note d'information.
Déplorant cet acte d'incivisme des populations, le GSPM explique que l'arrivée des secours sur les lieux d'un sinistre est subordonnée à de nombreux facteurs, notamment, l'appel avec la localisation précise, l'état de la circulation et de la route ainsi que la distance à parcourir.
« Le GSPM ne voit pas de sa position, les sinistres au moment de leur éclosion », soutient la note s'offusquant de ce « qu'en 2017, nos engins ont été caillassés six fois à Marcory Anoumabo et Sans fil et deux fois en 2018».
Poursuivant, le GSPM prévient que « nous n'allons pas continuer à risquer la vie de nos hommes et l'état de nos engins dans ces zones d'incivilité chronique tant qu'une solution durable ne sera pas trouvée ».
LB/ls
« Feu à Marcory sans fil. Les secours sont arrivés par le 26è arrondissement de police face à une population hostile qui procède à des jets de pierres. Les secours quittent les lieux, les renforts arrêtés et l'opération annulée », indique le GSPM dans une note d'information.
Déplorant cet acte d'incivisme des populations, le GSPM explique que l'arrivée des secours sur les lieux d'un sinistre est subordonnée à de nombreux facteurs, notamment, l'appel avec la localisation précise, l'état de la circulation et de la route ainsi que la distance à parcourir.
« Le GSPM ne voit pas de sa position, les sinistres au moment de leur éclosion », soutient la note s'offusquant de ce « qu'en 2017, nos engins ont été caillassés six fois à Marcory Anoumabo et Sans fil et deux fois en 2018».
Poursuivant, le GSPM prévient que « nous n'allons pas continuer à risquer la vie de nos hommes et l'état de nos engins dans ces zones d'incivilité chronique tant qu'une solution durable ne sera pas trouvée ».
LB/ls