« (….). Tout ce combat qui a été mené, nous l’avons fait en RHDP. Je me souviens encore des réunions au golf hôtel. Le président Bédié aurait pu rester à Daoukro. Il a préféré venir rester avec son frère au Golf hôtel. Au golf hôtel, nous avions tous les hauts cadres de nos partis. Nous l’avons fait en RHDP. C’est en RHDP qu’un mot d’ordre a été lancé le 16 décembre demandant à nos militants de sortir pour aller libérer la RTI. C’est en RHDP que le Pr Guikahué a lancé les mots d’ordre de boycott citoyen en Côte d’Ivoire. Les manifestations citoyennes demandant aux uns et autres de ne pas aller au travail, demandant aux chauffeurs de ne pas rouler, jusqu’à ce que la victoire du candidat du RHDP soit reconnue.
Nos pauvres dames, les 7 femmes qui ont été tuées à Abobo, parmi lesquelles il y avait une ADO Girls, Bamba Chami. Ces 7 femmes, ont répondu à quel mot d’ordre ? On l’oublie souvent mais c’est au mot d’ordre du RHDP. Mais je peux dire que je ne viens pas ici pour remuer le couteux dans la plaie, mais la vérité, l’histoire est un témoignage. C’est à partir du sacrifice de ces femmes, à partir de leur tuerie que les Etats-Unis ont levé le ton contre le régime d’alors en le traitant de laideur morale et que les Etats-Unis ont demandé une session spéciale au conseil des Nations unies avec la France à la suite de laquelle il y a eu la résolution 1975 qui a demandé que toutes les armes lourdes en Côte d’Ivoire soient détruites.
C’est le sacrifice de ces 7 femmes qui a précipité la libération de la Côte d’Ivoire. Par décence, nous demandons à nos responsables du RHDP et en mémoire de tous ceux qui sont tombés, pour le combat que nous avons incarné, d’éviter d’avoir des propos et comportements qui sont une insulte à la mémoire de tous ceux qui sont morts au nom du RHDP. Qui sont une insulte à la mémoire de ces militants coincés à la Maison du Pdci après la marche du 16 décembre. One triait même plus qui était du RDR, du Pdci, de l’Udpci. Ils ont été tués. Au nom de leur mémoire, Madame la ministre, je me joins aujourd’hui aux jeunes, à Charles Gnaoré, nous vous demandons de faire un plaidoyer auprès de nos (hauts) responsables. Par décence, ayons un souvenir, ayons le respect de la mémoire de ceux qui sont tombés. C’est par ce que nous avons eu ces combats que nous croyons fondamentalement que le Président Ouattara a raison en nous invitant à aller au Parti unifié qui va élargir la base de nos partis politiques, qui va nous permettre d’avoir un socle social fort.
On ne dira plus que le RDR, parti de Dioula, le Pdci, parti de Baoulé. Lorsque nous aurons fait un parti unifié et que tout le monde se sera retrouvé dans ce Parti unifié, nous pourrons garantir la paix et la stabilité. Ce n’est pas seulement un simple jeu de pouvoir. Sinon nous les jeunes, nous ne sommes pas candidat à une élection présidentielle. On ne sera pas Président. Mais ce dont nous serons bénéficiaires, c’est la paix et la stabilité. Car nous pensons que s’il y a la paix, la stabilité et l’égalité des chances, nous savons nous battre. Vous avez une génération qui sait se battre pour réussir et cette génération ne demande qu’un environnement sain. Nous ne voulons plus revivre ce que la Côte d’Ivoire a connu après 1993. Que ceux qui ce sont déjà réalisés, que ceux qui ont tous eu sous Houphouet-Boigny, ceux à qui Houphouet-Boigny a tout donné, nous laisse la chance d’avoir quelque chose avec Alassane Ouattara ».
Nos pauvres dames, les 7 femmes qui ont été tuées à Abobo, parmi lesquelles il y avait une ADO Girls, Bamba Chami. Ces 7 femmes, ont répondu à quel mot d’ordre ? On l’oublie souvent mais c’est au mot d’ordre du RHDP. Mais je peux dire que je ne viens pas ici pour remuer le couteux dans la plaie, mais la vérité, l’histoire est un témoignage. C’est à partir du sacrifice de ces femmes, à partir de leur tuerie que les Etats-Unis ont levé le ton contre le régime d’alors en le traitant de laideur morale et que les Etats-Unis ont demandé une session spéciale au conseil des Nations unies avec la France à la suite de laquelle il y a eu la résolution 1975 qui a demandé que toutes les armes lourdes en Côte d’Ivoire soient détruites.
C’est le sacrifice de ces 7 femmes qui a précipité la libération de la Côte d’Ivoire. Par décence, nous demandons à nos responsables du RHDP et en mémoire de tous ceux qui sont tombés, pour le combat que nous avons incarné, d’éviter d’avoir des propos et comportements qui sont une insulte à la mémoire de tous ceux qui sont morts au nom du RHDP. Qui sont une insulte à la mémoire de ces militants coincés à la Maison du Pdci après la marche du 16 décembre. One triait même plus qui était du RDR, du Pdci, de l’Udpci. Ils ont été tués. Au nom de leur mémoire, Madame la ministre, je me joins aujourd’hui aux jeunes, à Charles Gnaoré, nous vous demandons de faire un plaidoyer auprès de nos (hauts) responsables. Par décence, ayons un souvenir, ayons le respect de la mémoire de ceux qui sont tombés. C’est par ce que nous avons eu ces combats que nous croyons fondamentalement que le Président Ouattara a raison en nous invitant à aller au Parti unifié qui va élargir la base de nos partis politiques, qui va nous permettre d’avoir un socle social fort.
On ne dira plus que le RDR, parti de Dioula, le Pdci, parti de Baoulé. Lorsque nous aurons fait un parti unifié et que tout le monde se sera retrouvé dans ce Parti unifié, nous pourrons garantir la paix et la stabilité. Ce n’est pas seulement un simple jeu de pouvoir. Sinon nous les jeunes, nous ne sommes pas candidat à une élection présidentielle. On ne sera pas Président. Mais ce dont nous serons bénéficiaires, c’est la paix et la stabilité. Car nous pensons que s’il y a la paix, la stabilité et l’égalité des chances, nous savons nous battre. Vous avez une génération qui sait se battre pour réussir et cette génération ne demande qu’un environnement sain. Nous ne voulons plus revivre ce que la Côte d’Ivoire a connu après 1993. Que ceux qui ce sont déjà réalisés, que ceux qui ont tous eu sous Houphouet-Boigny, ceux à qui Houphouet-Boigny a tout donné, nous laisse la chance d’avoir quelque chose avec Alassane Ouattara ».