Une centaine de personnes, dont des membres du gouvernement ivoirien, ont participé mardi à une marche commémorative à Grand-Bassam, en souvenir des victimes de l’attentat terroriste qui a fait 19 morts le 13 mars 2016, dans cette cité balnéaire à 43 km d’Abidjan.
Dès 10h30 des habitants, chefs traditionnels, guides religieux, responsables politiques, autorités communales et préfectorales, de même que des patrons d’hôtels parmi lesquels ceux où les tueries ont eu lieu (La Paillote, l’Etoile du sud et Koral Beach), se sont réunis au sein de la mairie de Grand-Bassam, en attendant l’arrivée des membres du gouvernement.
La marche a débuté aux environs de 12h40 GMT, depuis la mairie jusqu’à la descente du rond-point de la victoire où se trouve une stèle en hommage aux victimes (soit une distance de moins de 150 mètres), une dizaine de minutes après l’arrivée du ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, précédé des ministres de la Sécurité et de la Santé, Sidiki Diakité et Raymonde Goudou-Coffie.
M. Bakayoko, accompagné des membres du gouvernement présent, a déposé une gerbe de fleurs avant de se recueillir devant la stèle, suivi dans cet acte par l’ambassadeur de la France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson.
"Nous sommes au deuxième anniversaire du premier attentat que notre pays a connu, l’attentat criminel de Grand-Bassam, et il fallait venir ici en souvenir de nos martyrs, apporter notre compassion aux familles", a dit le ministre de la Défense, ajoutant que la Côte d’Ivoire "se bat pour créer la paix" sur son territoire, "dans la sous-région et dans le monde", face à la presse.
Concernant le point de l’enquête, il a estimé que "le moment n’est pas approprié", tout en rappelant l’arrestation en 2017 au Mali du "principal commanditaire", Mimi Ould Baba Ould El Mokhtar, "qui est aujourd’hui en prison".
Le maire de Grand-Bassam, Georges Philippe Ezaley, a pour sa part assuré que "des dispositions (sécuritaires) spéciales" ont été prises depuis l’attentat, dans cette cité où "la vie a repris de plus belle".
Le 13 mars 2016, des terroristes armés ont attaqué trois hôtels à Grand-Bassam, tuant 19 personnes dont trois éléments des Forces spéciales (unité d’élite de l’armée).
MYA
Dès 10h30 des habitants, chefs traditionnels, guides religieux, responsables politiques, autorités communales et préfectorales, de même que des patrons d’hôtels parmi lesquels ceux où les tueries ont eu lieu (La Paillote, l’Etoile du sud et Koral Beach), se sont réunis au sein de la mairie de Grand-Bassam, en attendant l’arrivée des membres du gouvernement.
La marche a débuté aux environs de 12h40 GMT, depuis la mairie jusqu’à la descente du rond-point de la victoire où se trouve une stèle en hommage aux victimes (soit une distance de moins de 150 mètres), une dizaine de minutes après l’arrivée du ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, précédé des ministres de la Sécurité et de la Santé, Sidiki Diakité et Raymonde Goudou-Coffie.
M. Bakayoko, accompagné des membres du gouvernement présent, a déposé une gerbe de fleurs avant de se recueillir devant la stèle, suivi dans cet acte par l’ambassadeur de la France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson.
"Nous sommes au deuxième anniversaire du premier attentat que notre pays a connu, l’attentat criminel de Grand-Bassam, et il fallait venir ici en souvenir de nos martyrs, apporter notre compassion aux familles", a dit le ministre de la Défense, ajoutant que la Côte d’Ivoire "se bat pour créer la paix" sur son territoire, "dans la sous-région et dans le monde", face à la presse.
Concernant le point de l’enquête, il a estimé que "le moment n’est pas approprié", tout en rappelant l’arrestation en 2017 au Mali du "principal commanditaire", Mimi Ould Baba Ould El Mokhtar, "qui est aujourd’hui en prison".
Le maire de Grand-Bassam, Georges Philippe Ezaley, a pour sa part assuré que "des dispositions (sécuritaires) spéciales" ont été prises depuis l’attentat, dans cette cité où "la vie a repris de plus belle".
Le 13 mars 2016, des terroristes armés ont attaqué trois hôtels à Grand-Bassam, tuant 19 personnes dont trois éléments des Forces spéciales (unité d’élite de l’armée).
MYA