Le Congrès Mondial de la Téléphonie Mobile ou Mobile World Congress (MWC) s’est tenu à Barcelone en ce mois de mars 2018. Cet évènement planétaire, organisé par le GSMA, (Association Mondiale de l’industrie de la téléphonie mobile) réunit chaque année plus de 50 000 visiteurs venant de plusieurs pays du monde et se consacre entièrement aux nouvelles tendances et perceptives dans tous les domaines d’activité de l’écosystème du mobile.
Durant ce congrès, se déroule également un programme particulier dit Programme Ministériel. Il s’agit d’un forum qui offre aux responsables gouvernementaux et aux régulateurs, l’opportunité de débattre sur des problématiques communes. Ce forum se veut être en outre, un cadre de concertation avec des experts de l’industrie de la téléphonie mobile afin de développer des synergies d’actions à mettre en œuvre relativement aux questions de politique de télécommunications et de régulation.
Pour cette édition 2018, les experts se sont penchés entre autres sur les thématiques de l’impact de la connectivité mobile sur l’innovation, sur la croissance dans de multiples secteurs et les politiques publiques nécessaires afin de créer un avenir meilleur.
En créant un monde meilleur où toutes les communautés sont connectées, la mise en place d’un nouveau spectre de fréquences largement harmonisé pour le mobile représente un impératif au développement d’un écosystème mondial de la 5G. Lors des différentes sessions techniques, les échanges ont largement porté sur la connectivité des personnes démunies, les solutions à apporter face à l’avènement de la 5G. Cette nouvelle technologie ne devrait en aucun cas accentuer les inégalités, d’autant plus que certains pays accusent des retards considérables et n’ont par conséquent, pas encore amorcé le basculement vers la 4G.
La modernisation de la règlementation à l’heure du « tous connectés » a aussi meublé les discussions lors du Congrès Mondial de la Téléphonie Mobile. En effet, il a été question de partager les meilleures pratiques avec les responsables gouvernementaux afin d’assurer la confidentialité des données intelligentes et favoriser la promotion de l’engagement numérique dans ce nouvel environnement.
Enfin, la dernière étape des discussions a tourné autour des partenariats entre les gouvernements et tout l’écosystème afin de travailler de concert pour l’éclosion d’une économie numérique où toutes les parties sont inscrites dans un partenariat gagnant-gagnant.
C’est le Directeur de Cabinet Adjoint du Ministère de la Communication de l’Economie Numérique et de la Poste, M. Ahmed SAKO qui a conduit la délégation de la Côte d’Ivoire à ce grand rendez-vous. La mission était composée des personnalités suivantes, le Directeur Général de l’ARTCI Billé DIEMELEOU, son Directeur de l’Economie et des Marchés, de la Prospective et des Statistiques , M. Guy-Michel KOUAKOU, et celui des Activités de Contrôle, des membres du Conseil de régulation, Messieurs Jean-Claude MBAYA, et Siaka KONE, et ensuite le Directeur de la Planification du Spectre et des Affaires Internationales de l’AIGF, M. Gabriel KOFFI, Mme Christiane YANGNI-ANGATE Conseillère du DG et le Chef du Département Système d’Informations, M. Rodolphe ABOUEU.
Durant ce congrès, se déroule également un programme particulier dit Programme Ministériel. Il s’agit d’un forum qui offre aux responsables gouvernementaux et aux régulateurs, l’opportunité de débattre sur des problématiques communes. Ce forum se veut être en outre, un cadre de concertation avec des experts de l’industrie de la téléphonie mobile afin de développer des synergies d’actions à mettre en œuvre relativement aux questions de politique de télécommunications et de régulation.
Pour cette édition 2018, les experts se sont penchés entre autres sur les thématiques de l’impact de la connectivité mobile sur l’innovation, sur la croissance dans de multiples secteurs et les politiques publiques nécessaires afin de créer un avenir meilleur.
En créant un monde meilleur où toutes les communautés sont connectées, la mise en place d’un nouveau spectre de fréquences largement harmonisé pour le mobile représente un impératif au développement d’un écosystème mondial de la 5G. Lors des différentes sessions techniques, les échanges ont largement porté sur la connectivité des personnes démunies, les solutions à apporter face à l’avènement de la 5G. Cette nouvelle technologie ne devrait en aucun cas accentuer les inégalités, d’autant plus que certains pays accusent des retards considérables et n’ont par conséquent, pas encore amorcé le basculement vers la 4G.
La modernisation de la règlementation à l’heure du « tous connectés » a aussi meublé les discussions lors du Congrès Mondial de la Téléphonie Mobile. En effet, il a été question de partager les meilleures pratiques avec les responsables gouvernementaux afin d’assurer la confidentialité des données intelligentes et favoriser la promotion de l’engagement numérique dans ce nouvel environnement.
Enfin, la dernière étape des discussions a tourné autour des partenariats entre les gouvernements et tout l’écosystème afin de travailler de concert pour l’éclosion d’une économie numérique où toutes les parties sont inscrites dans un partenariat gagnant-gagnant.
C’est le Directeur de Cabinet Adjoint du Ministère de la Communication de l’Economie Numérique et de la Poste, M. Ahmed SAKO qui a conduit la délégation de la Côte d’Ivoire à ce grand rendez-vous. La mission était composée des personnalités suivantes, le Directeur Général de l’ARTCI Billé DIEMELEOU, son Directeur de l’Economie et des Marchés, de la Prospective et des Statistiques , M. Guy-Michel KOUAKOU, et celui des Activités de Contrôle, des membres du Conseil de régulation, Messieurs Jean-Claude MBAYA, et Siaka KONE, et ensuite le Directeur de la Planification du Spectre et des Affaires Internationales de l’AIGF, M. Gabriel KOFFI, Mme Christiane YANGNI-ANGATE Conseillère du DG et le Chef du Département Système d’Informations, M. Rodolphe ABOUEU.