« Le gouvernement de Côte d'Ivoire devra mobiliser davantage de ressources et mieux contrôler ses dépenses ». Cela est une injonction de la Banque mondiale dans son dernier rapport économique sur le Côte d'Ivoire, intitulé ''Aux portes du paradis''.
La mise en œuvre d'une telle recommandation a rencontré l'opposition du secteur privé ivoirien quand il s'est agi de créer de nouvelles taxes et augmenter le niveau d'impôts existants. Face à une telle situation, le gouvernement ivoirien se voit sans doute dans l'obligation de recourir à d'autres mécanismes de mobilisation de ressources, surtout que ces fonds doivent servir à soutenir et poursuivre le financement du déficit budgétaire qui a augmenté de 4 % du Produit intérieur brut (Pib) en 2016 à 4,5 % en 2017. En... suite de l'article sur LInfodrome
La mise en œuvre d'une telle recommandation a rencontré l'opposition du secteur privé ivoirien quand il s'est agi de créer de nouvelles taxes et augmenter le niveau d'impôts existants. Face à une telle situation, le gouvernement ivoirien se voit sans doute dans l'obligation de recourir à d'autres mécanismes de mobilisation de ressources, surtout que ces fonds doivent servir à soutenir et poursuivre le financement du déficit budgétaire qui a augmenté de 4 % du Produit intérieur brut (Pib) en 2016 à 4,5 % en 2017. En... suite de l'article sur LInfodrome