Issia - La ville d’Issia, depuis le 20 mars, n’est plus desservie en journaux car le seul revendeur agréé a suspendu ses activités pour activité non rentable à cause de la mévente des journaux.
« Je préfère utiliser ma caution pour faire une autre activité que de poursuivre le relais de vente de journaux qui a véritablement chuté à Issia », s’est justifié Paul Dembelé, le seul revendeur agréé des journaux de la presse écrite pour l’ensemble du département d’Issia.
Il a souligné que la mévente des quotidiens est à la base de cette décision. « Nous recevons chaque jours une marchandise de près de 100 000 francs CFA mais nous avons une recette de 5000 FCFA à 10 000 FCFA et la situation est dégradante depuis des mois », a-t-il regretté.
Les journaux n’intéressent plus assez les populations et beaucoup préfèrent se contenter de la "titrologie" (revue de la Une) sur internet que d’acheter les journaux, a-t-il argumenté.
Aujourd’hui, pour avoir un journal, il faut se rendre à Daloa à 42 km d’Issia, indique-t-on.
bop/kkf/fmo
« Je préfère utiliser ma caution pour faire une autre activité que de poursuivre le relais de vente de journaux qui a véritablement chuté à Issia », s’est justifié Paul Dembelé, le seul revendeur agréé des journaux de la presse écrite pour l’ensemble du département d’Issia.
Il a souligné que la mévente des quotidiens est à la base de cette décision. « Nous recevons chaque jours une marchandise de près de 100 000 francs CFA mais nous avons une recette de 5000 FCFA à 10 000 FCFA et la situation est dégradante depuis des mois », a-t-il regretté.
Les journaux n’intéressent plus assez les populations et beaucoup préfèrent se contenter de la "titrologie" (revue de la Une) sur internet que d’acheter les journaux, a-t-il argumenté.
Aujourd’hui, pour avoir un journal, il faut se rendre à Daloa à 42 km d’Issia, indique-t-on.
bop/kkf/fmo