Le Syndicat national des professionnels de la presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) apporte son soutien à l’ensemble des journalistes victimes d’agression de la part de policiers et dénonce l’impunité dont ils jouissent, dans une déclaration dont copie a été transmise à l’AIP lundi, à Abidjan.
Pour le SYNAPPCI, c’est « l’impunité dont bénéficient les forces de l’ordre qui les encourage à persister dans la violence contre les journalistes et professionnels des médias dans l’exercice de leurs métiers », citant les deux derniers cas relatifs à Landry Beugré, journaliste au quotidien L’Intelligent d’Abidjan, et du journaliste et blogueur Coulibaly Daouda, dont la vidéo de la violente arrestation a fait le tour des réseaux sociaux.
Lors de leur interpellation à une manifestation de l’opposition, le correspondant de RFI en Côte d’Ivoire, affirme également avoir été empêché d’exercer son droit d’informer.
Sans compter les autres cas, Le SYNAPPCI « exprime son soutien aux confrères agressés et brutalisés, ainsi qu’à leurs parents et proches », « salue le courage et la détermination du camarade Coulibaly Daouda, lui renouvelle son soutien et le rassure quant à son entière solidarité dans la suite judiciaire qu’il voudra bien donner à cette affaire, vu que le cabinet du procureur de la république a été saisi ».
Il rappelle aux gardes du corps des autorités et autres éléments de sécurité, que s’ils ont pour mission d’assurer la sécurité des autorités et de veiller à l’ordre public, c’est aux journalistes qu’il revient le rôle de relayer les opinions, discours et autres déclarations de tous les citoyens ».
Le SYNAPPCI « encourage le chef de l’Etat, le Président Alassane Ouattara, à faire en sorte que sa volonté de + mettre tout en œuvre pour une presse libre en Côte d’Ivoire+ exprimée en 2014, soit traduite dans les faits et que les responsables des actes d’agression délibérés contre les journalistes et professionnels de médias soient identifiés et sévèrement sanctionnés ».
Il interpelle le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le ministre de la Défense et le ministre de la Communication, de l'Economie numérique et de la Poste « sur l’obligation qu’ont les forces de sécurité de protéger les journalistes et tout professionnel de médias dans l’accomplissement de leur métier ».
Il rappelle, toutefois, aux journalistes et professionnels des médias, « la nécessité de rester professionnels » dans la recherche, la collecte et le traitement de l’information et les encourage « à demeurer solidaires et fermes » dans la défense de la liberté de la presse et de leur propre sécurité, en tout lieu et tout temps.
aaa/fmo
Pour le SYNAPPCI, c’est « l’impunité dont bénéficient les forces de l’ordre qui les encourage à persister dans la violence contre les journalistes et professionnels des médias dans l’exercice de leurs métiers », citant les deux derniers cas relatifs à Landry Beugré, journaliste au quotidien L’Intelligent d’Abidjan, et du journaliste et blogueur Coulibaly Daouda, dont la vidéo de la violente arrestation a fait le tour des réseaux sociaux.
Lors de leur interpellation à une manifestation de l’opposition, le correspondant de RFI en Côte d’Ivoire, affirme également avoir été empêché d’exercer son droit d’informer.
Sans compter les autres cas, Le SYNAPPCI « exprime son soutien aux confrères agressés et brutalisés, ainsi qu’à leurs parents et proches », « salue le courage et la détermination du camarade Coulibaly Daouda, lui renouvelle son soutien et le rassure quant à son entière solidarité dans la suite judiciaire qu’il voudra bien donner à cette affaire, vu que le cabinet du procureur de la république a été saisi ».
Il rappelle aux gardes du corps des autorités et autres éléments de sécurité, que s’ils ont pour mission d’assurer la sécurité des autorités et de veiller à l’ordre public, c’est aux journalistes qu’il revient le rôle de relayer les opinions, discours et autres déclarations de tous les citoyens ».
Le SYNAPPCI « encourage le chef de l’Etat, le Président Alassane Ouattara, à faire en sorte que sa volonté de + mettre tout en œuvre pour une presse libre en Côte d’Ivoire+ exprimée en 2014, soit traduite dans les faits et que les responsables des actes d’agression délibérés contre les journalistes et professionnels de médias soient identifiés et sévèrement sanctionnés ».
Il interpelle le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le ministre de la Défense et le ministre de la Communication, de l'Economie numérique et de la Poste « sur l’obligation qu’ont les forces de sécurité de protéger les journalistes et tout professionnel de médias dans l’accomplissement de leur métier ».
Il rappelle, toutefois, aux journalistes et professionnels des médias, « la nécessité de rester professionnels » dans la recherche, la collecte et le traitement de l’information et les encourage « à demeurer solidaires et fermes » dans la défense de la liberté de la presse et de leur propre sécurité, en tout lieu et tout temps.
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