Abidjan - Le Directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), Kossi Edoh Amenounvé a été désigné mardi, nouveau président de l’AfricaFinlab, laboratoire de la finance africaine à Abidjan.
Procédant avec la BRVM au lancement de cette structure, le délégué général de Paris Europlace, Arnaud de Bresson a annoncé que le choix a été porté sur M. Amenouvé pour conduire la vie de l’AfricaFinlab, la toute première structure créée dans ce domaine de la finance.
A son tour, le DG de la BRVM a remercié tous les acteurs du marché pour le choix porté sur sa personne pour présider et conduire les travaux de ce laboratoire de la finance africaine qui vient de naître.
«C’est un honneur pour la BRVM et le dépositaire central/banque de règlement ainsi que pour toute la communauté financière de l’UEMOA et l’ensemble des bourses africaines», a-t-il indiqué.
Il a dit mesurer l’importance des différents chantiers et des responsabilités qui sont les siennes.
«Je m’engage, à œuvrer avec le concours de tous et le soutien de nos partenaires, à faire au cours des prochaines années de l’AfricaFinlab, un creuset de nouvelles idées et des nouveaux talents au service du développement de la fiance en Afrique», a-t-il indiqué.
Selon lui, l’excellence et l’efficacité seront les maîtres-mots qui guideront son action au service du continent pour une transformation profonde avec la création d’une richesse durable et mieux partagée.
L’AfricaFinLab, qui a bénéficié de l’expertise et les conseils de la Banque africaine de développement (BAD), est une initiative des acteurs de places financières africaines et françaises, visant à intervenir sur les leviers qui transforment la finance africaine.
L’objectif est d’accompagner le développement des marchés des capitaux africains, au service du financement des économies africaines et de la croissance, soutenir l’innovation et la digitalisation de la finance, en particulier le développement des FinTech, et créer un cadre pour le développement des compétences et des talents.
Sur chacun de ces axes, l’objectif est de développer des « écosystèmes » pour créer la masse critique d’échanges et d’activités, nécessaire à la mobilisation des différents acteurs concernés.
bsp/fmo
Procédant avec la BRVM au lancement de cette structure, le délégué général de Paris Europlace, Arnaud de Bresson a annoncé que le choix a été porté sur M. Amenouvé pour conduire la vie de l’AfricaFinlab, la toute première structure créée dans ce domaine de la finance.
A son tour, le DG de la BRVM a remercié tous les acteurs du marché pour le choix porté sur sa personne pour présider et conduire les travaux de ce laboratoire de la finance africaine qui vient de naître.
«C’est un honneur pour la BRVM et le dépositaire central/banque de règlement ainsi que pour toute la communauté financière de l’UEMOA et l’ensemble des bourses africaines», a-t-il indiqué.
Il a dit mesurer l’importance des différents chantiers et des responsabilités qui sont les siennes.
«Je m’engage, à œuvrer avec le concours de tous et le soutien de nos partenaires, à faire au cours des prochaines années de l’AfricaFinlab, un creuset de nouvelles idées et des nouveaux talents au service du développement de la fiance en Afrique», a-t-il indiqué.
Selon lui, l’excellence et l’efficacité seront les maîtres-mots qui guideront son action au service du continent pour une transformation profonde avec la création d’une richesse durable et mieux partagée.
L’AfricaFinLab, qui a bénéficié de l’expertise et les conseils de la Banque africaine de développement (BAD), est une initiative des acteurs de places financières africaines et françaises, visant à intervenir sur les leviers qui transforment la finance africaine.
L’objectif est d’accompagner le développement des marchés des capitaux africains, au service du financement des économies africaines et de la croissance, soutenir l’innovation et la digitalisation de la finance, en particulier le développement des FinTech, et créer un cadre pour le développement des compétences et des talents.
Sur chacun de ces axes, l’objectif est de développer des « écosystèmes » pour créer la masse critique d’échanges et d’activités, nécessaire à la mobilisation des différents acteurs concernés.
bsp/fmo