Dame Bah Adeline, 27 ans révolus, a égorgé à l’aide d’un couteau de cuisine ses trois enfants, des fillettes âgées d’un à huit ans. C’était, selon des témoins, en début de journée du 28 mars 2018 au quartier lanviara à Ouangolodougou dans le nord de la Côte d’Ivoire.
Les informations, reçues d’une source policière, font état de ce que dame Bah Adeline serait en état de démence. Face à une population en furie, déchaînée, la police locale, a exfiltré la mise en cause et son mari, à en croire la même source.
La confirmation de la mort des trois enfants s’est faite, mais avec réserve, par le directeur de l’hôpital général de Ouangolodougou en ces termes: "Nous nous sommes rendus sur les lieux mais n’avons pas eu accès aux corps à cause des attroupements des populations. Le commissaire de police était sur place. Jusqu’à ce que nous quittions les lieux nous n’avons pas pu avoir accès aux corps».
Les populations de Ouangolodougou, encore sous le choc de ces infanticides, sont ahuries vu tout le bien que le voisinage de la dame Bah Adeline dit d’elle. Elle serait admise dans les services du CHR de Korhogo en attendant l’ouverture d’une enquête pour savoir les circonstances réelles de ces tueries.
Benogo TOURE
(Correspondance particulière)
Les informations, reçues d’une source policière, font état de ce que dame Bah Adeline serait en état de démence. Face à une population en furie, déchaînée, la police locale, a exfiltré la mise en cause et son mari, à en croire la même source.
La confirmation de la mort des trois enfants s’est faite, mais avec réserve, par le directeur de l’hôpital général de Ouangolodougou en ces termes: "Nous nous sommes rendus sur les lieux mais n’avons pas eu accès aux corps à cause des attroupements des populations. Le commissaire de police était sur place. Jusqu’à ce que nous quittions les lieux nous n’avons pas pu avoir accès aux corps».
Les populations de Ouangolodougou, encore sous le choc de ces infanticides, sont ahuries vu tout le bien que le voisinage de la dame Bah Adeline dit d’elle. Elle serait admise dans les services du CHR de Korhogo en attendant l’ouverture d’une enquête pour savoir les circonstances réelles de ces tueries.
Benogo TOURE
(Correspondance particulière)