Ouangolodougou - Dame Bah Adeline, 27 ans environ, a donné volontairement la mort à ses trois enfants en les égorgeant dans leur maison conjugale sise au quartier Lanviara de Ouangolodougou.
Bah Adeline, de nationalité ivoirienne, a étouffé et égorgé ses trois filles dont l’âge varie entre un et huit ans, à l’aide d’un couteau de cuisine en l’absence de son mari parti au travail.
La quatrième personne qui se trouvait sur le lieu du crime, la protégée du mari, a eu la vie sauve, car étant sous la douche au moment des faits.
"C’est elle qui a informé les voisins à son retour de la douche à la vue des corps des enfants dans la maison. Elle a pu s’enfuir alors que la dame voulait la tuer aussi. Elle a été poignardée dans le dos, mais ses jours ne sont pas en danger", a révélé le commissaire de police de Ouangolodougou.
Irritée par les faits et croyant à un rituel, la population locale a voulu en découdre avec la dame. Des renforts venus de Ferkessédougou et de Korhogo ont permis à la police d’exfiltrer celle-ci pour Korhogo.
(AIP)
CK/kp
Bah Adeline, de nationalité ivoirienne, a étouffé et égorgé ses trois filles dont l’âge varie entre un et huit ans, à l’aide d’un couteau de cuisine en l’absence de son mari parti au travail.
La quatrième personne qui se trouvait sur le lieu du crime, la protégée du mari, a eu la vie sauve, car étant sous la douche au moment des faits.
"C’est elle qui a informé les voisins à son retour de la douche à la vue des corps des enfants dans la maison. Elle a pu s’enfuir alors que la dame voulait la tuer aussi. Elle a été poignardée dans le dos, mais ses jours ne sont pas en danger", a révélé le commissaire de police de Ouangolodougou.
Irritée par les faits et croyant à un rituel, la population locale a voulu en découdre avec la dame. Des renforts venus de Ferkessédougou et de Korhogo ont permis à la police d’exfiltrer celle-ci pour Korhogo.
(AIP)
CK/kp