Abidjan - « De grandes évolutions positives » sont constatées dans le système judiciaire ivoirien depuis ces cinq dernières années, a relevé, jeudi, à Abidjan, le chef de projet Projustice, Daniel Dobrovoljec, à l’occasion du séminaire-bilan marquant la fin des activités de Projustice.
Ces évolutions positives sont le fruit d’un travail d’ensemble dans le cadre du projet Projustice impliquant acteurs de la justice ivoirienne et responsables de ce projet pour « une amélioration du fonctionnement de l’administration de la justice et la gestion des dossiers judiciaires, une plus grande transparence dans le fonctionnement du système judiciaire, l’accès accru du service public de la justice à tous les citoyens ivoiriens, surtout aux plus modestes et aux plus vulnérables tels que les personnes en situation de handicap », a souligné M. Dobrovoljec.
En outre, des effets positifs induits par l’installation de boîtes à suggestions dans les juridictions pour recevoir les critiques des usagers sur la qualité des services de la justice, ce qui est un instrument de gouvernance judiciaire et de transparence, la dotation en matériel informatique et bureautique de l’inspection générale des services judiciaires et pénitentiaires, la direction des affaires civiles et pénales…, l’installation de logiciels de gestion des procédures et des ressources humaines, de signalétiques dans les juridictions à Abidjan, Bouaké…, ainsi que la formation de nombreux magistrats et officiers de police judiciaire sur diverses thématiques relatives au bon fonctionnement de la justice, a pour sa part exprimé le directeur de cabinet, Bernard Kouassi, représentant le ministre de la Justice et des Droits de l'Homme.
Ces acquis sont contenus dans un plan d’action qui a été distribué aux partenaires techniques et financiers, afin qu’il inspire leurs programmations à venir pour le soutien du secteur judiciaire, a fait savoir le chef de projet, relevant que nonobstant, beaucoup reste à faire en matière de réforme et de modernisation du système judiciaire.
D'un coût de 10 milliards FCFA, le projet Projustice a démarré en 2013 à la suite d'un accord de coopération des gouvernements ivoirien et américain pour l’exécution d’un projet d’assistance au secteur de la justice en Côte d’Ivoire suite à la crise post-électorale qui avait gravement affecté son fonctionnement. Il a été financé par l'USAID, l'Agence des États-Unis pour le développement international et mis en œuvre par Tetra Tech DPK (ProJustice) pour une durée de cinq ans. Ce projet a deux objectifs principaux, à savoir améliorer l’administration de la justice et améliorer et accroître l’accès à la justice.
(AIP)
ask
Ces évolutions positives sont le fruit d’un travail d’ensemble dans le cadre du projet Projustice impliquant acteurs de la justice ivoirienne et responsables de ce projet pour « une amélioration du fonctionnement de l’administration de la justice et la gestion des dossiers judiciaires, une plus grande transparence dans le fonctionnement du système judiciaire, l’accès accru du service public de la justice à tous les citoyens ivoiriens, surtout aux plus modestes et aux plus vulnérables tels que les personnes en situation de handicap », a souligné M. Dobrovoljec.
En outre, des effets positifs induits par l’installation de boîtes à suggestions dans les juridictions pour recevoir les critiques des usagers sur la qualité des services de la justice, ce qui est un instrument de gouvernance judiciaire et de transparence, la dotation en matériel informatique et bureautique de l’inspection générale des services judiciaires et pénitentiaires, la direction des affaires civiles et pénales…, l’installation de logiciels de gestion des procédures et des ressources humaines, de signalétiques dans les juridictions à Abidjan, Bouaké…, ainsi que la formation de nombreux magistrats et officiers de police judiciaire sur diverses thématiques relatives au bon fonctionnement de la justice, a pour sa part exprimé le directeur de cabinet, Bernard Kouassi, représentant le ministre de la Justice et des Droits de l'Homme.
Ces acquis sont contenus dans un plan d’action qui a été distribué aux partenaires techniques et financiers, afin qu’il inspire leurs programmations à venir pour le soutien du secteur judiciaire, a fait savoir le chef de projet, relevant que nonobstant, beaucoup reste à faire en matière de réforme et de modernisation du système judiciaire.
D'un coût de 10 milliards FCFA, le projet Projustice a démarré en 2013 à la suite d'un accord de coopération des gouvernements ivoirien et américain pour l’exécution d’un projet d’assistance au secteur de la justice en Côte d’Ivoire suite à la crise post-électorale qui avait gravement affecté son fonctionnement. Il a été financé par l'USAID, l'Agence des États-Unis pour le développement international et mis en œuvre par Tetra Tech DPK (ProJustice) pour une durée de cinq ans. Ce projet a deux objectifs principaux, à savoir améliorer l’administration de la justice et améliorer et accroître l’accès à la justice.
(AIP)
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