Les membres des Comités locaux de développement minier (CDLM) d’Agbaou et de Hiré ont été sensibilisés jeudi, à Divo, à l’obligation qui pèse désormais sur eux d’intégrer dans leurs activités, les exigences de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE).
Cette initiative vise notamment à renforcer la bonne gouvernance et la transparence dans les revenus que les sociétés qui exploitent le sous-sol versent au gouvernement, rappelle-t-on.
Il s’agira désormais pour les CDLM qui perçoivent une partie des revenus du secteur extractif, de dire « combien ils ont reçu et à quoi cela a servi » conformément aux exigences de l’ITIE au sujet de déclaration des données particulièrement l’exigence 4.
C’est pour mieux intégrer cette nouvelle donne, que le Conseil national Itie Côte d’Ivoire (CN-ITIE-CI) a initié un atelier à Divo avec le financement de la coopération allemande.
« Il y aura une deuxième étape qui va consister à demander au CDLM de désigner une personne dont les capacités seront renforcées pour pouvoir participer au processus », a indiqué le directeur technique du CN-ITIE-CI, Julien Tingain.
Cet encadrement sera aussi assuré par les points focaux ITIE des opérateurs du secteur qui, eux, sont déjà outillés en la matière.
L’ITIE est un cadre d’échanges qui permet aux parties de discuter, partager des informations et de faire des reformes dans le cadre de la gouvernance des ressources du sous-sol que sont le pétrole, les gaz et les mines.
gso/fmo
Cette initiative vise notamment à renforcer la bonne gouvernance et la transparence dans les revenus que les sociétés qui exploitent le sous-sol versent au gouvernement, rappelle-t-on.
Il s’agira désormais pour les CDLM qui perçoivent une partie des revenus du secteur extractif, de dire « combien ils ont reçu et à quoi cela a servi » conformément aux exigences de l’ITIE au sujet de déclaration des données particulièrement l’exigence 4.
C’est pour mieux intégrer cette nouvelle donne, que le Conseil national Itie Côte d’Ivoire (CN-ITIE-CI) a initié un atelier à Divo avec le financement de la coopération allemande.
« Il y aura une deuxième étape qui va consister à demander au CDLM de désigner une personne dont les capacités seront renforcées pour pouvoir participer au processus », a indiqué le directeur technique du CN-ITIE-CI, Julien Tingain.
Cet encadrement sera aussi assuré par les points focaux ITIE des opérateurs du secteur qui, eux, sont déjà outillés en la matière.
L’ITIE est un cadre d’échanges qui permet aux parties de discuter, partager des informations et de faire des reformes dans le cadre de la gouvernance des ressources du sous-sol que sont le pétrole, les gaz et les mines.
gso/fmo