Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le déficit du solde budgétaire de la Côte d’Ivoire devrait se situer à 3,75% du Produit intérieur brut (PIB) ’’cette année’’, a déclaré jeudi, Dan Ghura, chef de mission pour la Côte d’Ivoire du Fonds monétaire international (FMI) après un entretien avec le président ivoirien Alassane Ouattara au palais présidentiel d’Abidjan-Plateau.
Au terme de cet entretien, un accord a été conclu entre le gouvernement ivoirien et l’institution financière internationale. L’examen de cet accord par le conseil d’administration du FMI est attendu pour juin 2018, a souligné M. Ghura précisant au titre de cette convention que ’’ les dépenses pro-pauvres seront maintenues et revues à la hausse’’.
Poursuivant, il a fait savoir que cette délégation qu’il conduit séjourne en Côte d’Ivoire depuis le 22 mars dernier dans le cadre de la troisième revue du programme économique et financier de la Côte d’Ivoire qui est soutenu par le FMI.
Livrant à la presse, les secrets de cette rencontre avec M. Ouattara et à laquelle ont pris part le vice-président Daniel Kablan Duncan, le premier ministre Amadou Gon Coulibaly et plusieurs membres de son gouvernement, M. Ghura a égrené les performances économiques de la Côte d’Ivoire notée par son institution.
”La croissance du PIB est estimée à 7,8% en 2017 et est tirée par l’ensemble des secteurs de l’économie. L’inflation est restée faible à moins d’1% bien en dessous de la norme de 3% de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) ", a-t-il indiqué soulignant que ’’ tous les critères quantitatifs de performance pour 2017 ont été atteints’’.
L’émissaire du FMI a affirmé en outre que le déficit du solde budgétaire de la Côte d’Ivoire devrait se situer à 3,75% du PIB ’’cette année’’ ajoutant que ’’ les baisses d’actifs pour la croissance en 2018 et le moyen terme restent solides pour une croissance inclusive".
M. Ghura a par ailleurs annoncé que son institution et les autorités ivoirienne ont convenu d’accélérer les réformes structurelles pour maintenir une ’’croissance forte, soutenue et inclusive’’.
Il a conclu en indiquant également que l’équipe du FMI qui achève sa mission ce jeudi, et les autorités ivoiriennes, se sont accordées sur ’’ la nécessité de préserver la viabilité des finances publiques et de la dette’’.
LB/ls
Au terme de cet entretien, un accord a été conclu entre le gouvernement ivoirien et l’institution financière internationale. L’examen de cet accord par le conseil d’administration du FMI est attendu pour juin 2018, a souligné M. Ghura précisant au titre de cette convention que ’’ les dépenses pro-pauvres seront maintenues et revues à la hausse’’.
Poursuivant, il a fait savoir que cette délégation qu’il conduit séjourne en Côte d’Ivoire depuis le 22 mars dernier dans le cadre de la troisième revue du programme économique et financier de la Côte d’Ivoire qui est soutenu par le FMI.
Livrant à la presse, les secrets de cette rencontre avec M. Ouattara et à laquelle ont pris part le vice-président Daniel Kablan Duncan, le premier ministre Amadou Gon Coulibaly et plusieurs membres de son gouvernement, M. Ghura a égrené les performances économiques de la Côte d’Ivoire notée par son institution.
”La croissance du PIB est estimée à 7,8% en 2017 et est tirée par l’ensemble des secteurs de l’économie. L’inflation est restée faible à moins d’1% bien en dessous de la norme de 3% de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) ", a-t-il indiqué soulignant que ’’ tous les critères quantitatifs de performance pour 2017 ont été atteints’’.
L’émissaire du FMI a affirmé en outre que le déficit du solde budgétaire de la Côte d’Ivoire devrait se situer à 3,75% du PIB ’’cette année’’ ajoutant que ’’ les baisses d’actifs pour la croissance en 2018 et le moyen terme restent solides pour une croissance inclusive".
M. Ghura a par ailleurs annoncé que son institution et les autorités ivoirienne ont convenu d’accélérer les réformes structurelles pour maintenir une ’’croissance forte, soutenue et inclusive’’.
Il a conclu en indiquant également que l’équipe du FMI qui achève sa mission ce jeudi, et les autorités ivoiriennes, se sont accordées sur ’’ la nécessité de préserver la viabilité des finances publiques et de la dette’’.
LB/ls