Les personnes arrêtées le jeudi 22 mars 2018 en répondant à l’appel de la plateforme de l’opposition EDS ont comparu devant le tribunal des flagrants délits d’Abidjan ce 6 avril 2018. La marche avortée visait une protestation pour une réforme de la CEI, conformément à l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
Les militants de la plate forme de l’opposition Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS) ont comparu devant le tribunal des flagrants délits d’Abidjan ce 6 avril 2018. Ils sont accusés d’acte ou de manœuvres tendant à entraîner des troubles à l’ordre public. Ils sont condamnés à 12 jours d’emprisonnement. Le procureur avait requis 15 jours d’emprisonnement.
Les manifestants rentreront libres chez... suite de l'article sur Pôle Afrique
Les militants de la plate forme de l’opposition Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS) ont comparu devant le tribunal des flagrants délits d’Abidjan ce 6 avril 2018. Ils sont accusés d’acte ou de manœuvres tendant à entraîner des troubles à l’ordre public. Ils sont condamnés à 12 jours d’emprisonnement. Le procureur avait requis 15 jours d’emprisonnement.
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