L’Autorité nationale de régulation des marchés publics (ANRMP) a formé une quarantaine de journalistes sur le thème ‘’Rôle et Responsabilité de la presse dans le renforcement de la bonne gouvernance dans les marchés publics’’, vendredi 6 avril à Yamoussoukro.
« Lorsqu’il y a des dysfonctionnements dans les structures étatiques, on accuse toujours les marchés publics. Il était donc important de créer un cadre d’échanges pour informer les journalistes sur les fonctions de la structure. Avec l’expérience de la faillite des sociétés étatiques d’alors, il faut que toutes ces structures soient bien gérées car c’est un lieu où il y a de nombreux contentieux », a situé Coulibaly Non Karna, président de l’ANRMP. « Soyez les historiens de la lutte pour le renforcement de la bonne gouvernance dans les marchés publics », a-t-il encouragé.
« L’une des faiblesses de la presse est le manque de spécialisation de ses acteurs », a déploré Raphaël Lapké, président du Conseil national de la presse (CNP), qui a salué la tenue de ce séminaire. Il a, en outre, exhorté l’administration à faciliter l’accès à l’information aux hommes des médias. Car pour lui, « refuser au journaliste l’accès à l’information c’est de l’empêcher de jouer son rôle et ne pas permettre à la population de jouir de son droit à l’information».
Quatre communications ont meublé ce séminaire de formation avec la presse.
Créée en 2009, l’ANRMP est une institution rattachée à la présidence de la République et a pour entre autres objectifs de démocratiser le débat sur les marchés publics, de faire naître la culture de la plainte dans ce domaine, de mettre fin à l’impunité en cas de manœuvres frauduleuses ou d’actes de corruption, de vulgariser les audits et dédramatiser leur perception.
Ayant débuté ses activités en 2010, l’ANRMP a rendu 277 décisions dont 51 annulations en matière de gestion du contentieux des marchés publics, avec prise en compte de la réglementation comme seul repère.
D.T
« Lorsqu’il y a des dysfonctionnements dans les structures étatiques, on accuse toujours les marchés publics. Il était donc important de créer un cadre d’échanges pour informer les journalistes sur les fonctions de la structure. Avec l’expérience de la faillite des sociétés étatiques d’alors, il faut que toutes ces structures soient bien gérées car c’est un lieu où il y a de nombreux contentieux », a situé Coulibaly Non Karna, président de l’ANRMP. « Soyez les historiens de la lutte pour le renforcement de la bonne gouvernance dans les marchés publics », a-t-il encouragé.
« L’une des faiblesses de la presse est le manque de spécialisation de ses acteurs », a déploré Raphaël Lapké, président du Conseil national de la presse (CNP), qui a salué la tenue de ce séminaire. Il a, en outre, exhorté l’administration à faciliter l’accès à l’information aux hommes des médias. Car pour lui, « refuser au journaliste l’accès à l’information c’est de l’empêcher de jouer son rôle et ne pas permettre à la population de jouir de son droit à l’information».
Quatre communications ont meublé ce séminaire de formation avec la presse.
Créée en 2009, l’ANRMP est une institution rattachée à la présidence de la République et a pour entre autres objectifs de démocratiser le débat sur les marchés publics, de faire naître la culture de la plainte dans ce domaine, de mettre fin à l’impunité en cas de manœuvres frauduleuses ou d’actes de corruption, de vulgariser les audits et dédramatiser leur perception.
Ayant débuté ses activités en 2010, l’ANRMP a rendu 277 décisions dont 51 annulations en matière de gestion du contentieux des marchés publics, avec prise en compte de la réglementation comme seul repère.
D.T