Abidjan – Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a confirmé, lundi, qu’il a bel et bien porté plainte, en France, contre un journal, pour un « Fakenews » sur le fonds de souveraineté de la Présidence de la République.
« J’ai porté plainte contre cet organe, ce que je n’ai jamais fait en Côte d’Ivoire », a dit le président Ouattara, sans citer nommément ce journal, mentionnant toutefois la diffusion de « Fakenews » par des médias étrangers.
La Lettre du continent, bulletin d’informations confidentielles, avait publié en septembre 2017 un article consacré au Fonds de souveraineté de la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, qu’elle avait estimé à 342,6 milliards F CFA. Des « informations mensongères et gravement diffamatoires » à l’endroit du chef de l’État, avait alors protesté la Présidence ivoirienne, qui avait annoncé une plainte contre le journal.
« Ces fonds concernent les dépenses de souveraineté de L’Etat », a précisé le président Ouattara, qui s’exprimait lors d’une cérémonie consacrée à la remise du rapport d’activité 2018 du Conseil national de presse (CNP) à la salle des Mosaïques du Palais de la Présidence à Abidjan-Plateau.
« La liberté de la presse est une réalité en Côte d’Ivoire », même si leur indépendance est sujette à certaines considérations dont l’idéologie de la ligne éditoriale, a-t-il poursuivi.
Il par ailleurs a souhaité que les journaux ivoiriens fassent preuve d’objectivité, et fassent leur propre mue pour relever le défi de la qualité du contenu, l’intégration du numérique face aux nouveaux défis des réseaux sociaux en vue de susciter l’intérêt des populations dont le nombre d’alphabètes s’accroît dans une proportion inversement proportionnelle à la décroissance du nombre de lecteurs.
« Le gouvernement prend toutes les dispositions pour que les journalistes exercent dans les meilleures conditions, pour éviter leur détresse financière », a-t-il souligné, citant la nouvelle loi de 2017 sur la presse qu’il a invité le président du CNP, Raphaël Lakpé, à promouvoir et vulgariser, pour qu’elle soit une boussole pour restaurer l’image du métier.
aaa/tm
« J’ai porté plainte contre cet organe, ce que je n’ai jamais fait en Côte d’Ivoire », a dit le président Ouattara, sans citer nommément ce journal, mentionnant toutefois la diffusion de « Fakenews » par des médias étrangers.
La Lettre du continent, bulletin d’informations confidentielles, avait publié en septembre 2017 un article consacré au Fonds de souveraineté de la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, qu’elle avait estimé à 342,6 milliards F CFA. Des « informations mensongères et gravement diffamatoires » à l’endroit du chef de l’État, avait alors protesté la Présidence ivoirienne, qui avait annoncé une plainte contre le journal.
« Ces fonds concernent les dépenses de souveraineté de L’Etat », a précisé le président Ouattara, qui s’exprimait lors d’une cérémonie consacrée à la remise du rapport d’activité 2018 du Conseil national de presse (CNP) à la salle des Mosaïques du Palais de la Présidence à Abidjan-Plateau.
« La liberté de la presse est une réalité en Côte d’Ivoire », même si leur indépendance est sujette à certaines considérations dont l’idéologie de la ligne éditoriale, a-t-il poursuivi.
Il par ailleurs a souhaité que les journaux ivoiriens fassent preuve d’objectivité, et fassent leur propre mue pour relever le défi de la qualité du contenu, l’intégration du numérique face aux nouveaux défis des réseaux sociaux en vue de susciter l’intérêt des populations dont le nombre d’alphabètes s’accroît dans une proportion inversement proportionnelle à la décroissance du nombre de lecteurs.
« Le gouvernement prend toutes les dispositions pour que les journalistes exercent dans les meilleures conditions, pour éviter leur détresse financière », a-t-il souligné, citant la nouvelle loi de 2017 sur la presse qu’il a invité le président du CNP, Raphaël Lakpé, à promouvoir et vulgariser, pour qu’elle soit une boussole pour restaurer l’image du métier.
aaa/tm